La saisie pénale des biens incorporels / Nicolas Lory, Monographie imprimée

Main Author: Lory, Nicolas, AuteurLanguage: français.Publication : Paris : l'Harmattan, DL 2016, cop. 2016Description: 1 vol. (217 p.) ; 22 cmISBN: 978-2-343-07408-5.Series: Bibliothèques de droit, Bibliothèque de droit pénitentiaire, 1950-2788Classification: KD.1Abstract: Après un exposé récapitulatif sur les fondements de la saisie pénale des biens incorporels, l'ouvrage recense les procédures applicables à la saisie pénale et à la confiscation des biens incorporels, notamment depuis la loi nÊ 2010-768 du 9 juillet 2010 appelée loi "Warsmann". ­Electre 2016; La 4e de couverture indique : "La loi n° 2010-768 du 9 juillet 2010 visant à faciliter la saisie et la confiscation en matière pénale, communément appelée « loi Warsmann », a changé l'appréhension des saisies pénales. Auparavant, elles étaient entendues comme la mise sous main de justice de tout bien susceptible de constituer un élément de preuve dans un but de manifestation de la vérité. Seule la saisie de pièces à conviction était donc envisagée. Désormais elles permettent également d'appréhender des biens aux seules fins de garantir l'effectivité de la peine complémentaire de confiscation et les services d'enquêtes, à travers la « mise en état patrimoniale » des affaires pénales, mettent en exergue, dès la procédure, les biens susceptibles d'être confisqués. Après l'entrée en vigueur de la loi, le législateur a modifié par touches successives le régime des saisies pénales des biens incorporels. Ces modifications sont en grande partie issues des praticiens qui ont pu déceler les failles du système. Toutefois, il ne faut pas négliger le rôle des délinquants, qui, dans leur volonté d'échapper à tout prix à la confiscation de leurs biens, ont fait preuve d'une certaine ingéniosité. Alors qu'avant 2010, les saisies pénales des biens incorporels en France étaient limitées et ne faisaient pas honneur à l'influence du droit français à l'échelle Internationale, la loi « Warsmann » a fait de notre procédure une des plus adaptatives et abouties.".Bibliography: Bibliogr. p. 203-212. Webliogr. p. 212-[213]. Notes bibliogr. Index.Thesis: .Subject - Topical Name: Saisie et confiscation (droit pénal) France | Perquisitions et saisies France | Biens incorporels France
Item type Home library Collection Call number Status Date due Barcode Item holds
Prêt normal BU Chevreul
1er étage : Droit
Droit 346.016 LOR (Browse shelf (Opens below)) Available 0379926080
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Bibliogr. p. 203-212. Webliogr. p. 212-[213]. Notes bibliogr. Index

Texte remanié de Mémoire de master recherche 2e année Droit pénal et sciences criminelles Université de Nantes 2015

Après un exposé récapitulatif sur les fondements de la saisie pénale des biens incorporels, l'ouvrage recense les procédures applicables à la saisie pénale et à la confiscation des biens incorporels, notamment depuis la loi nÊ 2010-768 du 9 juillet 2010 appelée loi "Warsmann". ­Electre 2016

La 4e de couverture indique : "La loi n° 2010-768 du 9 juillet 2010 visant à faciliter la saisie et la confiscation en matière pénale, communément appelée « loi Warsmann », a changé l'appréhension des saisies pénales. Auparavant, elles étaient entendues comme la mise sous main de justice de tout bien susceptible de constituer un élément de preuve dans un but de manifestation de la vérité. Seule la saisie de pièces à conviction était donc envisagée. Désormais elles permettent également d'appréhender des biens aux seules fins de garantir l'effectivité de la peine complémentaire de confiscation et les services d'enquêtes, à travers la « mise en état patrimoniale » des affaires pénales, mettent en exergue, dès la procédure, les biens susceptibles d'être confisqués. Après l'entrée en vigueur de la loi, le législateur a modifié par touches successives le régime des saisies pénales des biens incorporels. Ces modifications sont en grande partie issues des praticiens qui ont pu déceler les failles du système. Toutefois, il ne faut pas négliger le rôle des délinquants, qui, dans leur volonté d'échapper à tout prix à la confiscation de leurs biens, ont fait preuve d'une certaine ingéniosité. Alors qu'avant 2010, les saisies pénales des biens incorporels en France étaient limitées et ne faisaient pas honneur à l'influence du droit français à l'échelle Internationale, la loi « Warsmann » a fait de notre procédure une des plus adaptatives et abouties."

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