Sacré souffle : poésie, théâtre, politique / Christian Schiaretti ; entretien réalisé par Laure Adler ; transcription réalisée par Hélène Moreau ; [préface de Emmanuel Éthis], Monographie imprimée
Language: français.Country: France.Publication : Avignon : Éditions universitaires d'Avignon, DL 2016, 84-Avignon : Impr. De RudderDescription: 1 vol. (82 p.) ; 20 cmISBN: 978-2-35768-049-4.Series: Entre-vues : leçons de l'université, 1967-3094Dewey: 792.023 3092, 22Classification: 920Abstract: Dans cet entretien, Christian Schiaretti livre sa conception du théâtre. Electre 2016; La 4e de couverture indique : "Pour Christian Schiaretti, il ne s'agit pas seulement d'éduquer le comédien à la beauté de la scansion et du souffle, mais aussi d'affiner l'oreille du spectateur à l'élégance d'une belle formulation. La langue et son usage sont au coeur de son travail et il l'a prouvé en installant les "Langagières" dans le paysage poétique de Reims. Avec "Mai, juin, juillet" et son mélange générationnel, qu'il considère comme fondamental, Christian Schiaretti lie (par leurs parcours similaire), et oppose (par leur positionnement tant politique que théâtral), Barrault et Vilar.".Subject - Personal Name: Schiaretti, Christian, 1955- EntretiensItem type | Home library | Collection | Call number | Status | Date due | Barcode | Item holds |
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Prêt normal | Bibliothèque provisoire Bron Salle de lecture | Spectacle (Arts du spectacle) | 792 Schiaretti (Browse shelf (Opens below)) | Available | 0380054751 |
Texte issu d'une leçon donnée par Christian Schiaretti le 17 juillet 2014 à l'Université d'Avignon, en présence de Laure Adler
Dans cet entretien, Christian Schiaretti livre sa conception du théâtre. Electre 2016
La 4e de couverture indique : "Pour Christian Schiaretti, il ne s'agit pas seulement d'éduquer le comédien à la beauté de la scansion et du souffle, mais aussi d'affiner l'oreille du spectateur à l'élégance d'une belle formulation. La langue et son usage sont au coeur de son travail et il l'a prouvé en installant les "Langagières" dans le paysage poétique de Reims. Avec "Mai, juin, juillet" et son mélange générationnel, qu'il considère comme fondamental, Christian Schiaretti lie (par leurs parcours similaire), et oppose (par leur positionnement tant politique que théâtral), Barrault et Vilar."