Copier et contrefaire à la Renaissance : faux et usage de faux / actes du colloque organisé par R.H.R. et la S.F.D.E.S., 29, 30 et 31 octobre 2009, Université Paris 1-Panthéon-Sorbonne ; sous la direction de Pascale Mounier et de Colette Nativel, Monographie imprimée
Language: français.Country: France.Publication : Paris : H. Champion, 2014, cop. 2014Description: 1 vol. (491 p.) : ill. ; 2014ISBN: 978-2-7453-2577-8.Series: Colloques, congrès et conférences sur le XVIe siècle, 2Abstract: A la Renaissance, l'imitation est répandue en littérature et en art. Les contributions interrogent la limite entre le licite et l'illicite en matière de production manufacturée et de création intellectuelle dans des champs variés : littérature, art, commerce, politique, sciences, religion. Etude sur une époque qui voit les débuts d'une réflexion sur une déontologie de la reproduction. Electre 2014; "Poser la question de la contrefaçon et des usages de faux à la Renaissance peut sembler incongru, tant l'époque pratique l'imitation en littérature comme en art et prise peu l'originalité. On tente pourtant alors pour la première fois de faire la part du licite et de l'illicite en matière de production manufacturée et de création intellectuelle. Face à la multiplication de pièces de monnaie rognées, de tissus alourdis en eau et, de façon nouvelle, d'oeuvres, de tableaux ou de sculptures attribuées fallacieusement à un auteur ou à un maître prestigieux, de livres publiés sans l'accord d'un précédent imprimeur, des juristes et des hommes de lettres posent les linéaments d'une déontologie de la reproduction. Tous les champs d'exercice de la reproduction sont concernés, y compris ceux qui nécessitent l'identification des personnes : la littérature, les arts, le commerce, la politique, les sciences et la religion. La présente enquête pluridisciplinaire tâche de dessiner la frontière que le XVIe siècle établit entre la copie et la contrefaçon entre l'imitation autorisée et l'imitation frauduleuse en interrogeant les codes juridiques et moraux et les pratiques en vigueur dans chacun de ces domaines." (4e de couv.).Bibliography: Notes bibliogr. Index.Subject - Topical Name: Contrefaçon -- Renaissance Actes de congrès | Faux -- Renaissance Actes de congrèsItem type | Home library | Collection | Call number | Status | Date due | Barcode | Item holds |
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Prêt normal | BU Chevreul 5ème étage : Arts | Art - Histoire de l'Art | 709.402 MOU (Browse shelf (Opens below)) | Available | 0379662209 |
RHR = Association Renaissance, humanisme, Réforme. SFDES = Société française d'étude du XVIe siècle
Notes bibliogr. Index
A la Renaissance, l'imitation est répandue en littérature et en art. Les contributions interrogent la limite entre le licite et l'illicite en matière de production manufacturée et de création intellectuelle dans des champs variés : littérature, art, commerce, politique, sciences, religion. Etude sur une époque qui voit les débuts d'une réflexion sur une déontologie de la reproduction. Electre 2014
"Poser la question de la contrefaçon et des usages de faux à la Renaissance peut sembler incongru, tant l'époque pratique l'imitation en littérature comme en art et prise peu l'originalité. On tente pourtant alors pour la première fois de faire la part du licite et de l'illicite en matière de production manufacturée et de création intellectuelle. Face à la multiplication de pièces de monnaie rognées, de tissus alourdis en eau et, de façon nouvelle, d'oeuvres, de tableaux ou de sculptures attribuées fallacieusement à un auteur ou à un maître prestigieux, de livres publiés sans l'accord d'un précédent imprimeur, des juristes et des hommes de lettres posent les linéaments d'une déontologie de la reproduction. Tous les champs d'exercice de la reproduction sont concernés, y compris ceux qui nécessitent l'identification des personnes : la littérature, les arts, le commerce, la politique, les sciences et la religion. La présente enquête pluridisciplinaire tâche de dessiner la frontière que le XVIe siècle établit entre la copie et la contrefaçon entre l'imitation autorisée et l'imitation frauduleuse en interrogeant les codes juridiques et moraux et les pratiques en vigueur dans chacun de ces domaines." (4e de couv.)