Les barbares / Hérodote ; [avant-propos de François L'Yvonnet], Monographie imprimée

Main Author: Hérodote, 0484?-0420? av. J.-C., AuteurSecondary Author: L'Yvonnet, François, PréfacierUniform Title: 286484, 17600873XHistoires, français, Extrait, 2015Language: français ; of original work, grec classique.Country: France.Publication : Paris : l'Herne, DL 2015, cop. 2015Description: 1 vol. (66 p.) ; 17 cmISBN: 978-2-85197-313-9.Series: CarnetsDewey: 932.016, 22Classification: 930Abstract: " Une partie des Égyptiens regardent les crocodiles comme des animaux sacrés ; mais d'autres leur font la guerre. Ceux qui habitent aux environs de Thèbes et du lac Moéris ont pour eux beaucoup de vénération. Les uns et les autres en choisissent un qu'ils élèvent, et qu'ils instruisent à se laisser toucher avec la main. On lui met des pendants d'oreilles d'or ou de pierre factice, et on lui attache aux pieds de devant de petites chaînes ou bracelets. On le nourrit avec la chair des victimes, et on lui donne d'autres aliments prescrits. Tant qu'il vit, on en prend le plus grand soin ; quand il meurt, on l'embaume, et on le met dans une caisse sacrée. " Hérodote; Les Histoires sont nourries d'observations faites au cours de voyages par-delà le monde grec. La notion de "barbare" y fait sa première apparition, désignant les non Grecs, sans connotation péjorative. Dans les extraits ici repris (d'après une traduction ancienne), il est surtout question de l'Egypte, pays dont la Grèce, souligne Hérodote, a reçu les dieux, la géométrie et les rites. ­Electre 2016; "Une partie des Égyptiens regardent les crocodiles comme des animaux sacrés ; mais d'autres leur font la guerre. Ceux qui habitent aux environs de Thèbes et du lac Moéris ont pour eux beaucoup de vénération. Les uns et les autres en choisissent un qu'ils élèvent, et qu'ils instruisent à se laisser toucher avec la main. On lui met des pendants d'oreilles d'or ou de pierre factice, et on lui attache aux pieds de devant de petites chaînes ou bracelets. On le nourrit avec la chair des victimes, et on lui donne d'autres aliments prescrits. Tant qu'il vit, on en prend le plus grand soin ; quand il meurt, on l'embaume, et on le met dans une caisse sacrée. " Hérodote.Bibliography: Notes bibliogr..Subject - Geographical Name: Égypte 5e siècle av. J.-C
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3ème étage : Sciences sociales
Lettres et langues classiques 880 Hérodote (Browse shelf (Opens below)) Available 0380055314
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Notes bibliogr.

" Une partie des Égyptiens regardent les crocodiles comme des animaux sacrés ; mais d'autres leur font la guerre. Ceux qui habitent aux environs de Thèbes et du lac Moéris ont pour eux beaucoup de vénération. Les uns et les autres en choisissent un qu'ils élèvent, et qu'ils instruisent à se laisser toucher avec la main. On lui met des pendants d'oreilles d'or ou de pierre factice, et on lui attache aux pieds de devant de petites chaînes ou bracelets. On le nourrit avec la chair des victimes, et on lui donne d'autres aliments prescrits. Tant qu'il vit, on en prend le plus grand soin ; quand il meurt, on l'embaume, et on le met dans une caisse sacrée. " Hérodote éditeur

Les Histoires sont nourries d'observations faites au cours de voyages par-delà le monde grec. La notion de "barbare" y fait sa première apparition, désignant les non Grecs, sans connotation péjorative. Dans les extraits ici repris (d'après une traduction ancienne), il est surtout question de l'Egypte, pays dont la Grèce, souligne Hérodote, a reçu les dieux, la géométrie et les rites. ­Electre 2016

"Une partie des Égyptiens regardent les crocodiles comme des animaux sacrés ; mais d'autres leur font la guerre. Ceux qui habitent aux environs de Thèbes et du lac Moéris ont pour eux beaucoup de vénération. Les uns et les autres en choisissent un qu'ils élèvent, et qu'ils instruisent à se laisser toucher avec la main. On lui met des pendants d'oreilles d'or ou de pierre factice, et on lui attache aux pieds de devant de petites chaînes ou bracelets. On le nourrit avec la chair des victimes, et on lui donne d'autres aliments prescrits. Tant qu'il vit, on en prend le plus grand soin ; quand il meurt, on l'embaume, et on le met dans une caisse sacrée. " Hérodote éditeur

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