Final cut au Pakistan [Images animées] / Jérôme Florenville, réal., Audiovisuel
Uniform Conventional Heading: Films documentaires[Asie], PakistanLanguage: anglais ; of original work, anglais ; of subtitles, français.Country: France.Publication : Paris : Centre national de la cinématographie, 2010Description: 1 DVD (51 min) : coul., sonoreSeries: Images de la culture, CinémaAbstract: Indiqué sur la jaquette : Jadis épicentre d'une production riche et florissante, "Lollywood" (contraction de Lahore, deuxième ville et capitale culturelle du Pakistan, et d'Hollywood) ne produit plus chaque année qu'une dizaine de films aux budgets faméliques. Jérôme Florenville interroge de nombreux acteurs, réalisateurs, producteurs et exploitants pakistanais pour tâcher de mettre en lumière cette cinématographie méconnue et d'analyser les raisons de son déclin. Né avec l'Indépendance en 1947, le cinéma pakistanais connaît un essor rapide. Les années 1960/70 constituent un âge d'or durant lequel plusieurs centaines de films sont produits par an et projetés dans le millier de salles que compte alors le pays. Plusieurs extraits de films témoignent d'un art chantant, foisonnant, multiculturel et populaire. Une figure incarne cette apogée : l'acteur Sultan Rahi, le "John Wayne du Pakistan" (selon l'acteur Khalid Butt), dont l'assassinat en 1996 marque symboliquement l'effondrement économique et esthétique du cinéma national. Les causes en sont nombreuses : la censure forcenée imposée dès 1978 par le régime de Zia-ul-Haq ; l'emprise exercée par la mafia sur l'industrie favorisant la production de films d'action virils ; le corset moral et le terrorisme talibans. Face à un 7e art aujourd'hui délabré, reste la confiance en l'avenir de quelques-uns (l'acteur Shaan, le cinéaste Syed Noor), qui se battent pour voir un jour leur cinématographie revivre..Subject - Topical Name: Cinéma -- Pakistan DVD Subject - Form: Films ethnographiques -- États-Unis DVDItem type | Home library | Collection | Call number | Status | Date due | Barcode | Item holds |
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Prêt normal | Bibliothèque provisoire Bron Salle de lecture | Spectacle (Arts du spectacle) | 791.430.95 FLO (Browse shelf (Opens below)) | Available | 0378945723 |
Version en français, anglais ; sous-titres en français
Cop. : Kanari films ; Ciné cinéma, 2010
Indiqué sur la jaquette : Jadis épicentre d'une production riche et florissante, "Lollywood" (contraction de Lahore, deuxième ville et capitale culturelle du Pakistan, et d'Hollywood) ne produit plus chaque année qu'une dizaine de films aux budgets faméliques. Jérôme Florenville interroge de nombreux acteurs, réalisateurs, producteurs et exploitants pakistanais pour tâcher de mettre en lumière cette cinématographie méconnue et d'analyser les raisons de son déclin. Né avec l'Indépendance en 1947, le cinéma pakistanais connaît un essor rapide. Les années 1960/70 constituent un âge d'or durant lequel plusieurs centaines de films sont produits par an et projetés dans le millier de salles que compte alors le pays. Plusieurs extraits de films témoignent d'un art chantant, foisonnant, multiculturel et populaire. Une figure incarne cette apogée : l'acteur Sultan Rahi, le "John Wayne du Pakistan" (selon l'acteur Khalid Butt), dont l'assassinat en 1996 marque symboliquement l'effondrement économique et esthétique du cinéma national. Les causes en sont nombreuses : la censure forcenée imposée dès 1978 par le régime de Zia-ul-Haq ; l'emprise exercée par la mafia sur l'industrie favorisant la production de films d'action virils ; le corset moral et le terrorisme talibans. Face à un 7e art aujourd'hui délabré, reste la confiance en l'avenir de quelques-uns (l'acteur Shaan, le cinéaste Syed Noor), qui se battent pour voir un jour leur cinématographie revivre.