La nouvelle écologie politique : économie et développement humain / Jean-Paul Fitoussi, Éloi Laurent, Monographie imprimée
Language: français.Country: France.Publication : [Paris] : La République des idées : Seuil, DL 2008Description: 1 vol. (116 p.) : graph., tabl. ; 21 cmISBN: 978-2-02-097719-7.Series: La République des idéesDewey: 304.2, 22aClassification: LE.22Abstract: Le niveau de vie moyen de l'humanité a davantage augmenté entre 1990 et 2000 qu'entre l'an 1 de notre ère et 1820. Plusieurs milliards d'individus sont ainsi sortis de la misère ou sont sur le point de s'en extraire. Une nouvelle loi de Malthus semble cependant s'imposer : compte tenu de la fragilité des équilibres environnementaux, nous serions désormais trop nombreux à être trop riches et bien portants. Après 200 000 ans de lutte contre les forces de la nature, l'homme aurait acquis sur elle un tragique ascendant et devrait renoncer au développement économique : devant cette malédiction de la prospérité, des voix nombreuses appellent à l'interruption de la croissance et à la suspension du progrès. Nous croyons au contraire qu'il est possible de poursuivre sur le chemin du développement humain sans sacrifier les écosystèmes terrestres, mais à condition d'élever notre niveau d'exigence démocratique. L'égalité écologique est la clé du développement durable. [4ème de couv.]; Le niveau de vie moyen de l'humanité a davantage augmenté entre 1990 et 2000 qu'entre l'an 1 de notre ère et 1820. Plusieurs milliards d'individus sont ainsi sortis de la misère ou sont sur le point de s'en extraire. Une nouvelle loi de Malthus semble cependant s'imposer : compte tenu de la fragilité des équilibres environnementaux, nous serions désormais trop nombreux à être trop riches et bien portants. Après 200 000 ans de lutte contre les forces de la nature, l'homme aurait acquis sur elle un tragique ascendant et devrait renoncer au développement économique : devant cette malédiction de la prospérité, des voix nombreuses appellent à l'interruption de la croissance et à la suspension du progrès. Nous croyons au contraire qu'il est possible de poursuivre sur le chemin du développement humain sans sacrifier les écosystèmes terrestres, mais à condition d'élever notre niveau d'exigence démocratique. L'égalité écologique est la clé du développement durable. [4ème de couv.].Bibliography: Notes bibliogr..Subject - Topical Name: Écologisme | Économie sociale et solidaire | Écologie humaine | Développement économique | Développement humain 1990-2020Item type | Home library | Collection | Call number | Status | Date due | Barcode | Item holds |
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Prêt normal | Bibliothèque provisoire Bron Salle de lecture | Politique | 320.58 FIT (Browse shelf (Opens below)) | Available | 0379360617 | ||
Prêt normal | BU Chevreul 3ème étage : Sciences sociales | Economie et gestion | 320.5 FIT (Browse shelf (Opens below)) | Available | 0378029843 |
Notes bibliogr.
Le niveau de vie moyen de l'humanité a davantage augmenté entre 1990 et 2000 qu'entre l'an 1 de notre ère et 1820. Plusieurs milliards d'individus sont ainsi sortis de la misère ou sont sur le point de s'en extraire. Une nouvelle loi de Malthus semble cependant s'imposer : compte tenu de la fragilité des équilibres environnementaux, nous serions désormais trop nombreux à être trop riches et bien portants. Après 200 000 ans de lutte contre les forces de la nature, l'homme aurait acquis sur elle un tragique ascendant et devrait renoncer au développement économique : devant cette malédiction de la prospérité, des voix nombreuses appellent à l'interruption de la croissance et à la suspension du progrès. Nous croyons au contraire qu'il est possible de poursuivre sur le chemin du développement humain sans sacrifier les écosystèmes terrestres, mais à condition d'élever notre niveau d'exigence démocratique. L'égalité écologique est la clé du développement durable. [4ème de couv.]
Le niveau de vie moyen de l'humanité a davantage augmenté entre 1990 et 2000 qu'entre l'an 1 de notre ère et 1820. Plusieurs milliards d'individus sont ainsi sortis de la misère ou sont sur le point de s'en extraire. Une nouvelle loi de Malthus semble cependant s'imposer : compte tenu de la fragilité des équilibres environnementaux, nous serions désormais trop nombreux à être trop riches et bien portants. Après 200 000 ans de lutte contre les forces de la nature, l'homme aurait acquis sur elle un tragique ascendant et devrait renoncer au développement économique : devant cette malédiction de la prospérité, des voix nombreuses appellent à l'interruption de la croissance et à la suspension du progrès. Nous croyons au contraire qu'il est possible de poursuivre sur le chemin du développement humain sans sacrifier les écosystèmes terrestres, mais à condition d'élever notre niveau d'exigence démocratique. L'égalité écologique est la clé du développement durable. [4ème de couv.]