La cinéfable entre drame et récit : anti-manuel de scénario / Claire Mercier, Monographie imprimée
Language: français.Country: France.Publication : Paris : L'Harmattan, DL 2017Description: 1 vol. (170 p.) : couv. ill. en coul. ; 22 cmISBN: 978-2-343-11393-7; 2-343-11393-9.Series: Le parti pris du cinéma, EssaiDewey: 791Abstract: L'auteure aborde la définition de la cinéfable, sa participation contradictoire au récit et au drame ainsi que sa relation avec le scénario et présente les concepts opératoires sans lesquels la cinéfable ne peut exister ni se transformer. Elle confronte également son propos aux écrits d'auteurs comme M. Pagnol, J. Rancière, G. Deleuze et propose des analyses de film détaillées. Electre 2017; La 4e de couv. indique : "La 'cinéfable' ne se loge dans aucun plan ou aucun son d'un film en particulier, elle les irrigue tous et se projette dans la salle obscure. En ce sens, elle se tient à l'opposé du scénario, ce texte qui se trouve, lui, en amont d'un film et qui en est l'outil. Il ne s'agit donc pas ici de donner des recettes pour écrire un scénario ni une bonne histoire. Pourtant le but de cet anti-manuel n'est en définitive pas théorique. Il vise à faire entrer le lecteur - étudiant, scénariste ou cinéaste - dans l'état d'effervescence qui prélude à toute création dans le champ de la fiction cinématographique. Au départ, récit et drame ne désignent pas des contenus mais des modes, différents, de présence de la poésie. Cet essai met au jour la participation contradictoire de la cinéfable au récit et au drame. Il s'attache également à penser les concepts opératoires sans lesquels cette fable ne peut ni se définir ni se réinventer (poièsis, praxis, mimèsis, stase, péripétie, commencement...). Les problèmes soulevés, les hypothèses sont confrontés à des pensées du scénario et du cinéma, celles de Balász, de Bazin, de Pagnol, de Pasolini, mais aussi de Rancière ou de Deleuze. Le recours à des analyses de film détaillées vient illustrer le propos. Cet essai est le premier d'une série d'études que Claire Mercier consacre à cette question de la cinéfable. Autant de moments d'une poétique libre et personnelle, non dénuée de sinuosités, et dont il n'est pas sûr qu'elle ne soit pas une fiction.".Bibliography: Bibliogr. p. 157-164. Notes bibliogr. de bas de pages. Filmogr. p. 165-167.Subject - Topical Name: Cinéma, Art d'écrire | Théorie du cinéma | Philosophie et cinémaItem type | Home library | Collection | Call number | Status | Date due | Barcode | Item holds |
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Prêt normal | Bibliothèque provisoire Bron Salle de lecture | Spectacle (Arts du spectacle) | 791.437 MER (Browse shelf (Opens below)) | Available | 0380084550 |
Bibliogr. p. 157-164. Notes bibliogr. de bas de pages. Filmogr. p. 165-167
L'auteure aborde la définition de la cinéfable, sa participation contradictoire au récit et au drame ainsi que sa relation avec le scénario et présente les concepts opératoires sans lesquels la cinéfable ne peut exister ni se transformer. Elle confronte également son propos aux écrits d'auteurs comme M. Pagnol, J. Rancière, G. Deleuze et propose des analyses de film détaillées. Electre 2017
La 4e de couv. indique : "La 'cinéfable' ne se loge dans aucun plan ou aucun son d'un film en particulier, elle les irrigue tous et se projette dans la salle obscure. En ce sens, elle se tient à l'opposé du scénario, ce texte qui se trouve, lui, en amont d'un film et qui en est l'outil. Il ne s'agit donc pas ici de donner des recettes pour écrire un scénario ni une bonne histoire. Pourtant le but de cet anti-manuel n'est en définitive pas théorique. Il vise à faire entrer le lecteur - étudiant, scénariste ou cinéaste - dans l'état d'effervescence qui prélude à toute création dans le champ de la fiction cinématographique. Au départ, récit et drame ne désignent pas des contenus mais des modes, différents, de présence de la poésie. Cet essai met au jour la participation contradictoire de la cinéfable au récit et au drame. Il s'attache également à penser les concepts opératoires sans lesquels cette fable ne peut ni se définir ni se réinventer (poièsis, praxis, mimèsis, stase, péripétie, commencement...). Les problèmes soulevés, les hypothèses sont confrontés à des pensées du scénario et du cinéma, celles de Balász, de Bazin, de Pagnol, de Pasolini, mais aussi de Rancière ou de Deleuze. Le recours à des analyses de film détaillées vient illustrer le propos. Cet essai est le premier d'une série d'études que Claire Mercier consacre à cette question de la cinéfable. Autant de moments d'une poétique libre et personnelle, non dénuée de sinuosités, et dont il n'est pas sûr qu'elle ne soit pas une fiction."