Des films et des maisons : la périlleuse trajectoire de l'homme vers son humanité / Alice Laguarda, Monographie imprimée

Main Author: Laguarda, Alice, AuteurLanguage: français.Country: France.Publication : Aix-en-Provence : Rouge profond, DL 2016, cop. 2016Description: 1 vol. (283 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 22 cmISBN: 978-2-915083-90-3; 2-915083-90-8.Series: Raccords, 1763-184XDewey: 791Abstract: Le cinéma est peuplé de maisons qui hantent l'imaginaire, entretiennent des fantasmes d'abri, réveillent le désir de s'ouvrir au monde ou à l'inverse de s'en extraire. Une trentaine de films sont analysés sous trois angles : les maisons de l'accord, du mystère ou de l'égarement. Les modalités existentielles, éthiques et politiques qui entrent en jeu dans l'habitat sont analysées. ­Electre 2016; La 4ème de couverture indique : "Dans sa quête d'humanité, l'homme fait l'expérience d'une trajectoire existentielle qui le conduit à désirer, inventer et habiter des maisons. Demeure de la subjectivité et de l'intimité de l'être, image de la totalité close sur elle-même, la maison est également le lieu de l'apprentissage de l'ouverture au monde et aux autres. Elle est un objet équivoque : espace de la concentration, de la domestication de l'homme par l'homme, la maison est un vecteur d'aliénation, de dislocation, le lieu où vient se loger, aussi, l'inhumain. Or, un "récit" particulier traverse le cinéma, celui des trajectoires corporelles, spatiales et émotionnelles des personnages aux prises avec cette ambiguïté fondamentale de la maison. Le cinéma recèle ainsi une histoire des évolutions de la maison en tant que forme matérielle, symbolique, mentale. Il nous interroge sur la valeur de l'habiter, des représentations qui en idéalisent les fonctions d'humanisation jusqu'aux figurations d'une obsolescence de la maison, d'une disparition des croyances et des imaginaires qui l'accompagnent. Cet ouvrage richement illustré propose des analyses de ce "récit", structurées en trois moments - l'accord ; le mystère ; l'égarement - qui montrent, de John Ford à Guillermo del Toro, de Jacques Rivette à Wes Craven, en passant par Antonioni, Sam Peckinpah, Dario Argento, David Lynch, Bertrand Bonello, Christopher Nolan et bien d'autres, combien la trajectoire de l'homme vers son humanité est incertaine et périlleuse.".Bibliography: Bibliogr. p. 279-[282]. Notes bibliogr..Subject - Topical Name: Philosophie et cinéma | Lieu de résidence Au cinéma | Logement Au cinéma | Cinéma, Thèmes, motifs
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Spectacle (Arts du spectacle) 791.436.4 LAG (Browse shelf (Opens below)) Available 0380022774
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Bibliogr. p. 279-[282]. Notes bibliogr.

Le cinéma est peuplé de maisons qui hantent l'imaginaire, entretiennent des fantasmes d'abri, réveillent le désir de s'ouvrir au monde ou à l'inverse de s'en extraire. Une trentaine de films sont analysés sous trois angles : les maisons de l'accord, du mystère ou de l'égarement. Les modalités existentielles, éthiques et politiques qui entrent en jeu dans l'habitat sont analysées. ­Electre 2016

La 4ème de couverture indique : "Dans sa quête d'humanité, l'homme fait l'expérience d'une trajectoire existentielle qui le conduit à désirer, inventer et habiter des maisons. Demeure de la subjectivité et de l'intimité de l'être, image de la totalité close sur elle-même, la maison est également le lieu de l'apprentissage de l'ouverture au monde et aux autres. Elle est un objet équivoque : espace de la concentration, de la domestication de l'homme par l'homme, la maison est un vecteur d'aliénation, de dislocation, le lieu où vient se loger, aussi, l'inhumain. Or, un "récit" particulier traverse le cinéma, celui des trajectoires corporelles, spatiales et émotionnelles des personnages aux prises avec cette ambiguïté fondamentale de la maison. Le cinéma recèle ainsi une histoire des évolutions de la maison en tant que forme matérielle, symbolique, mentale. Il nous interroge sur la valeur de l'habiter, des représentations qui en idéalisent les fonctions d'humanisation jusqu'aux figurations d'une obsolescence de la maison, d'une disparition des croyances et des imaginaires qui l'accompagnent. Cet ouvrage richement illustré propose des analyses de ce "récit", structurées en trois moments - l'accord ; le mystère ; l'égarement - qui montrent, de John Ford à Guillermo del Toro, de Jacques Rivette à Wes Craven, en passant par Antonioni, Sam Peckinpah, Dario Argento, David Lynch, Bertrand Bonello, Christopher Nolan et bien d'autres, combien la trajectoire de l'homme vers son humanité est incertaine et périlleuse."

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