Habiter contre la métropole / Conseil nocturne ; [traduction par Manuel Martinez avec la collaboration de Marjolaine François], Monographie imprimée
Translation of: Un habitar más fuerte que la metrópoliLanguage: français ; of original work, espagnol.Publication : Paris : Editions divergences, DL 2019Description: 1 vol. (95 p.) ; 20 cmISBN: 979-10-97088-13-2.Abstract: Pour répondre aux difficultés croissantes de vivre en ville, le collectif propose des méthodes alternatives telles que l'occupation de territoires ou la création de communautés. Electre 2019; La 1ère de couverture indique : "La sensation de vivre dans un camp de concentration planétaire atteint son plus haut degré de réalité dans la métropole. Face à une dévastation totale des formes-de-vie, une question ne cesse de résonner en nous : où fuir ? Habiter pleinement, arracher des territoires à la gestion capitaliste mondiale, construire des communes sont les gestes révolutionnaires de qui a cessé d'espérer, de qui ne croit pas aux "solutions" de l'urbanisme ou autres sciences de gouvernement, car il sait que générer des mondes n'est pas un problème, mais un besoin vital qui s'assume ou qui se délègue à l'oppresseur. Nous constituer en force historique autonome va de pair avec la destitution de l'état de choses présent, et vice-versa".Subject - Topical Name: Métropolisation | AnarchismeItem type | Home library | Collection | Call number | Status | Date due | Barcode | Item holds |
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Prêt normal | Bibliothèque provisoire Bron Salle de lecture | Politique | 307.761 HAB (Browse shelf (Opens below)) | Checked out | 29/04/2024 | 0380438681 |
Pepitas de calabaza, 2018 pour l'édition originale
Pour répondre aux difficultés croissantes de vivre en ville, le collectif propose des méthodes alternatives telles que l'occupation de territoires ou la création de communautés. Electre 2019
La 1ère de couverture indique : "La sensation de vivre dans un camp de concentration planétaire atteint son plus haut degré de réalité dans la métropole. Face à une dévastation totale des formes-de-vie, une question ne cesse de résonner en nous : où fuir ? Habiter pleinement, arracher des territoires à la gestion capitaliste mondiale, construire des communes sont les gestes révolutionnaires de qui a cessé d'espérer, de qui ne croit pas aux "solutions" de l'urbanisme ou autres sciences de gouvernement, car il sait que générer des mondes n'est pas un problème, mais un besoin vital qui s'assume ou qui se délègue à l'oppresseur. Nous constituer en force historique autonome va de pair avec la destitution de l'état de choses présent, et vice-versa"