Bibliogr. en fin de chapitres

La généralisation, qui consiste à énoncer une loi à partir de l'analyse d'un ou de plusieurs faits, questionne la pratique de l'universalisation des cas particuliers étudiés en sciences sociales ainsi que l'articulation des sciences sociales avec les sciences de la nature.

P. 13 Généraliser, ou le perpétuel dépassement / Emmanuel Désveaux et Michel de Fornel P. 29 Première partie : du singulier comme général P. 31 Comment généralise-t-on ? Chronique d’une ethnographie de l’urgence sociale / Daniel Cefaï P. 59 La guerre, mais de très près / Stéphane Audoin-Rouzeau P. 87 Deuxième partie : horizons d’universalité P. 89 Le « tournant social » de la philosophie de l’esprit : l’apport des sciences cognitives / Jérôme Dokic P. 121 La parenté au singulier / Laurent Barry P. 151 Généraliser l’indéfini / Michel de Fornel P. 179 La décision des collectifs / Philippe Urfalino P. 209 Ni pure abstraction ni simple généralisation : leçons japonaises pour une refondation de l’économie politique / Sébastien Lechevalier P. 237 Troisième partie : généralisation et historicité P. 239 Origines légales et histoire quelques remarques à partir de l’histoire des procédures de faillite / Pierre-Cyrille Hautcoeur P. 263 Extensions méditerranéennes : Europe et Islam au contact durant les siècles modernes (XVIe-XVIIIe siècles) / Jocelyne Dakhlia P. 293 Histoires impériales et coloniales d’Ancien Régime : un regard sur l’État moderne / Catarina Madeira Santos et Jean-Frédéric Schaub