La liquidité des marchés boursiers : cas de la Bourse des valeurs mobilières de Tunis / Latifa Ziadi ; sous la dir. de Bernard Courbis, Thèse imprimée

Main Author: Ziadi, Latifa, AuteurCoauthor: Courbis, Bernard, Directeur de thèseCorporate Author (Coauthor): Université Lumière, Lyon, Organisme de soutenanceLanguage: français ; of summary, français ; of summary, anglais.Country: France.Publication : [S.l.] : [s.n.], 2001Description: 2 vol. 337-54 f. : graph. ; 30 cmClassification: 330Abstract: Si le rôle des marchés primaires consiste à offrir à l'économie diverses formules de financement, celui des marchés secondaires est de préserver la continuité et la disponibilité de ces capitaux. Ce rôle est assuré à travers le service de liquidité. La liquidité des marchés boursiers en particulier est une performance très sollicitée. Néanmoins, il demeure toujours difficile de la définir précisément et de lui attribuer une mesure unifiée. La liquidité de marché est un thème qui a surtout été abordé dans les écrits anglo-saxons avec un intérêt particulier attribué à la tâche des market markers au regard des traditions organisationnelles des marchés américains et britanniques. En revanche, le market making n'est pas une solution universelle en dépit de sa place dominante dans la littérature académique. L'univers réel des marchés de titres négociables offrent des solutions institutionnelles et réglementaires diverses. La question de l'organisation de liquidité est importante pour l'ensemble de tous les marchés boursiers. Cependant, elle revêt un aspect plus complexe dans les économies en développement. Les programmes de libéralisation financière, la pénurie de capitaux et l'absence de culture de marché dans certains pays rendent la réponse à cette question plus difficile. La problématique de cette thèse consiste à éclaircir la notion de liquidité de marché et à s'intéresser à ses sources. Notre intérêt particulier porte sur le cas de la bourse des Valeurs Mobilières de Tunis. Après avoir connu plusieurs réformes réglementaires et organisationnelles, l'activité du marché boursier tunisien reste en deçà des espoirs escomptés à l'exception de deux années euphoriques 1994-1995. Nous relions cette lenteur à un problème d'illiquidité structurelle et nous nous efforçons de la justifier et de proposer quelques aménagements envisageables à la lumière de l'expérience du second marché français; Si le rôle des marchés primaires consiste à offrir à l'économie diverses formules de financement, celui des marchés secondaires est de préserver la continuité et la disponibilité de ces capitaux. Ce rôle est assuré à travers le service de liquidité. La liquidité des marchés boursiers en particulier est une performance très sollicitée. Néanmoins, il demeure toujours difficile de la définir précisément et de lui attribuer une mesure unifiée. La liquidité de marché est un thème qui a surtout été abordé dans les écrits anglo-saxons avec un intérêt particulier attribué à la tâche des market markers au regard des traditions organisationnelles des marchés américains et britanniques. En revanche, le market making n'est pas une solution universelle en dépit de sa place dominante dans la littérature académique. L'univers réel des marchés de titres négociables offrent des solutions institutionnelles et réglementaires diverses. La question de l'organisation de liquidité est importante pour l'ensemble de tous les marchés boursiers. Cependant, elle revêt un aspect plus complexe dans les économies en développement. Les programmes de libéralisation financière, la pénurie de capitaux et l'absence de culture de marché dans certains pays rendent la réponse à cette question plus difficile. La problématique de cette thèse consiste à éclaircir la notion de liquidité de marché et à s'intéresser à ses sources. Notre intérêt particulier porte sur le cas de la bourse des Valeurs Mobilières de Tunis. Après avoir connu plusieurs réformes réglementaires et organisationnelles, l'activité du marché boursier tunisien reste en deçà des espoirs escomptés à l'exception de deux années euphoriques 1994-1995. Nous relions cette lenteur à un problème d'illiquidité structurelle et nous nous efforçons de la justifier et de proposer quelques aménagements envisageables à la lumière de l'expérience du second marché français.Bibliography: Bibliogr. [14 f.].Thesis: .Subject - Topical Name: Valeurs mobilières Tunisie | Liquidité (économie politique) Tunisie Subject - Form: Thèses et écrits académiques
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Bibliogr. [14 f.]

Thèse de doctorat Sciences économiques. Monnaie, financement et économie internationale Lyon 2 2001

Si le rôle des marchés primaires consiste à offrir à l'économie diverses formules de financement, celui des marchés secondaires est de préserver la continuité et la disponibilité de ces capitaux. Ce rôle est assuré à travers le service de liquidité. La liquidité des marchés boursiers en particulier est une performance très sollicitée. Néanmoins, il demeure toujours difficile de la définir précisément et de lui attribuer une mesure unifiée. La liquidité de marché est un thème qui a surtout été abordé dans les écrits anglo-saxons avec un intérêt particulier attribué à la tâche des market markers au regard des traditions organisationnelles des marchés américains et britanniques. En revanche, le market making n'est pas une solution universelle en dépit de sa place dominante dans la littérature académique. L'univers réel des marchés de titres négociables offrent des solutions institutionnelles et réglementaires diverses. La question de l'organisation de liquidité est importante pour l'ensemble de tous les marchés boursiers. Cependant, elle revêt un aspect plus complexe dans les économies en développement. Les programmes de libéralisation financière, la pénurie de capitaux et l'absence de culture de marché dans certains pays rendent la réponse à cette question plus difficile. La problématique de cette thèse consiste à éclaircir la notion de liquidité de marché et à s'intéresser à ses sources. Notre intérêt particulier porte sur le cas de la bourse des Valeurs Mobilières de Tunis. Après avoir connu plusieurs réformes réglementaires et organisationnelles, l'activité du marché boursier tunisien reste en deçà des espoirs escomptés à l'exception de deux années euphoriques 1994-1995. Nous relions cette lenteur à un problème d'illiquidité structurelle et nous nous efforçons de la justifier et de proposer quelques aménagements envisageables à la lumière de l'expérience du second marché français

Si le rôle des marchés primaires consiste à offrir à l'économie diverses formules de financement, celui des marchés secondaires est de préserver la continuité et la disponibilité de ces capitaux. Ce rôle est assuré à travers le service de liquidité. La liquidité des marchés boursiers en particulier est une performance très sollicitée. Néanmoins, il demeure toujours difficile de la définir précisément et de lui attribuer une mesure unifiée. La liquidité de marché est un thème qui a surtout été abordé dans les écrits anglo-saxons avec un intérêt particulier attribué à la tâche des market markers au regard des traditions organisationnelles des marchés américains et britanniques. En revanche, le market making n'est pas une solution universelle en dépit de sa place dominante dans la littérature académique. L'univers réel des marchés de titres négociables offrent des solutions institutionnelles et réglementaires diverses. La question de l'organisation de liquidité est importante pour l'ensemble de tous les marchés boursiers. Cependant, elle revêt un aspect plus complexe dans les économies en développement. Les programmes de libéralisation financière, la pénurie de capitaux et l'absence de culture de marché dans certains pays rendent la réponse à cette question plus difficile. La problématique de cette thèse consiste à éclaircir la notion de liquidité de marché et à s'intéresser à ses sources. Notre intérêt particulier porte sur le cas de la bourse des Valeurs Mobilières de Tunis. Après avoir connu plusieurs réformes réglementaires et organisationnelles, l'activité du marché boursier tunisien reste en deçà des espoirs escomptés à l'exception de deux années euphoriques 1994-1995. Nous relions cette lenteur à un problème d'illiquidité structurelle et nous nous efforçons de la justifier et de proposer quelques aménagements envisageables à la lumière de l'expérience du second marché français

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