Clinique de l'agir : décharge ou adresse objectale ? / [Directrice de la publication : Charlotte Costantino], Monographie électronique
Set Level: 154901857, Cliniques, 1968-3944, 9Language: français ; of summary, français ; of summary, anglais.Publication : Toulouse : Érès éditions, 2015Abstract: Dans le développement de l’enfant, l’acte précède la pensée, il ouvre la voie aux capacités de symbolisation et reste ainsi sans doute l’un des prototypes des capacités de mentalisation, une influence ancestrale sous forme de traces sensori-motrices. Ainsi, au fil de l’histoire infantile, le « faire » cède le pas au « penser ». À partir de quand l’agir comportemental peut-il être considéré comme un échec des processus de mentalisation, de contenance et d’élaboration psychique ? Est-il simple décharge motrice ou s’adresse-t-il à un objet ? L'acte obéit-il à un impératif auto-érotique, narcissique ou bien s'inscrit-il dans une dynamique relationnelle ? Quelles réponses l’institution de soin peut-elle offrir à ces expressions comportementales ?.Bibliography: Bibliogr. en fin de contributions.Subject - Topical Name: Acte (psychanalyse) | Psychanalyse, Pratique Online Resources:Click here to access online | accès distantItem type | Home library | Collection | Call number | Status | Date due | Barcode | Item holds |
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Non prêtable | Documentation en ligne Ressources électroniques | Psychologie | Cairn (Browse shelf (Opens below)) | En ligne | EL627959 |
Résumés en français et en anglais
Description d'après consultation de la ressource (2016-03-24)
Titre provenant de l'écran-titre
Numéro de : "Cliniques : paroles de praticiens en institution", ISSN 1968-3944, (2015)n°9
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Bibliogr. en fin de contributions
Dans le développement de l’enfant, l’acte précède la pensée, il ouvre la voie aux capacités de symbolisation et reste ainsi sans doute l’un des prototypes des capacités de mentalisation, une influence ancestrale sous forme de traces sensori-motrices. Ainsi, au fil de l’histoire infantile, le « faire » cède le pas au « penser ». À partir de quand l’agir comportemental peut-il être considéré comme un échec des processus de mentalisation, de contenance et d’élaboration psychique ? Est-il simple décharge motrice ou s’adresse-t-il à un objet ? L'acte obéit-il à un impératif auto-érotique, narcissique ou bien s'inscrit-il dans une dynamique relationnelle ? Quelles réponses l’institution de soin peut-elle offrir à ces expressions comportementales ?
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