, Thèse électroniqueLes représentations culturelles dans la formation de formateurs en Lettres Françaises [Ressource électronique] : essai d’analyse comparative entre un groupe d’étudiants de deux villes, Beyrouth (Liban) et Batna (Algérie) / Samira Boubakour

Publication : 2011Abstract: Le choix de notre recherche s’est porté sur l’étude des représentations culturelles de la langue française dans la formation des formateurs, et sur les enjeux sociaux liés à une spécialisation en lettres françaises et ce dans deux pays où la langue française connaît un statut assez particulier, il s’agit en l’occurrence de l’Algérie et le Liban. Cette recherche s’est effectuée dans des universités libanaises et algériennes. Nous avons cherché à connaître les différences éventuelles entre les représentations culturelles et sociales de la langue, pour les deux groupes, qui évoluent dans des climats socioculturels distincts, mais qui ont en commun une longue histoire avec la France et sa langue. Il a été aussi question de déterminer l’influence que pouvaient avoir des facteurs d’ordre : biologique (sexe), socioculturel (origine citadine rurale, scolarité et langues des parents) ou d’autres liés à la formation (année d’étude) sur la positivité ou la négativité des représentations produites. L’accent a été mis finalement sur analyse de l’organisation sociocognitive de ces représentations et sur l’étude des bases cognitives de la représentation sociale de la langue française.La démarche scientifique adoptée, était principalement pluridisciplinaire à visée interculturelle, à travers une démarche comparative, en choisissant comme outils: les échelles d’attitudes, le questionnaire, la méthode des Schèmes Cognitifs de Base et le test du Qui Suis-je ? Nous avons voulu étudier la relation qu’entretenaient les sujets vis-à-vis de la langue française par le biais des pratiques langagières et de la dynamique de la construction identitaire. La dimension d’appartenance a été étudiée en fonction du degré de rattachement des sujets à leur groupe d'appartenance, et du rôle, éventuel, de l’appartenance religieuse dans la conception et la nature des représentations culturelles, et de l’existence, éventuelle, d’un désir d'appartenance au groupe de référence..Online Resources:Click here to access online

Le choix de notre recherche s’est porté sur l’étude des représentations culturelles de la langue française dans la formation des formateurs, et sur les enjeux sociaux liés à une spécialisation en lettres françaises et ce dans deux pays où la langue française connaît un statut assez particulier, il s’agit en l’occurrence de l’Algérie et le Liban. Cette recherche s’est effectuée dans des universités libanaises et algériennes. Nous avons cherché à connaître les différences éventuelles entre les représentations culturelles et sociales de la langue, pour les deux groupes, qui évoluent dans des climats socioculturels distincts, mais qui ont en commun une longue histoire avec la France et sa langue. Il a été aussi question de déterminer l’influence que pouvaient avoir des facteurs d’ordre : biologique (sexe), socioculturel (origine citadine rurale, scolarité et langues des parents) ou d’autres liés à la formation (année d’étude) sur la positivité ou la négativité des représentations produites. L’accent a été mis finalement sur analyse de l’organisation sociocognitive de ces représentations et sur l’étude des bases cognitives de la représentation sociale de la langue française.La démarche scientifique adoptée, était principalement pluridisciplinaire à visée interculturelle, à travers une démarche comparative, en choisissant comme outils: les échelles d’attitudes, le questionnaire, la méthode des Schèmes Cognitifs de Base et le test du Qui Suis-je ? Nous avons voulu étudier la relation qu’entretenaient les sujets vis-à-vis de la langue française par le biais des pratiques langagières et de la dynamique de la construction identitaire. La dimension d’appartenance a été étudiée en fonction du degré de rattachement des sujets à leur groupe d'appartenance, et du rôle, éventuel, de l’appartenance religieuse dans la conception et la nature des représentations culturelles, et de l’existence, éventuelle, d’un désir d'appartenance au groupe de référence.

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