Vers la mise en tourisme de nouveaux territoires touristiques au Kenya ? : cas de la région occidentale / Bonface Odiara Kihima ; sous la direction de Jean Rieucau, Thèse électronique

Main Author: Odiara Kihima, Bonface, 1979-...., AuteurSecondary Author: Rieucau, Jean, 1953-...., Directeur de thèse;Bart, François, 1948-..., Président du jury de soutenance;Simon, Anthony, 1971-...., ;Calas, Bernard, 1961-...., Corporate Author (Secondary): Université Lumière, Lyon, Organisme de soutenance;École doctorale Histoire, géographie, aménagement, urbanisme, archéologie, sciences politiques, sociologie, anthropologie, Lyon, Ecole doctorale associée à la thèseLanguage: français ; of summary, français ; of summary, anglais.Country: France.Publication : 2010Classification: 910 ; 710Abstract: Kenya, as many other tourism destinations, is characterized by a geographical concentration of tourists in a few selected national parks and reserves to the detriment of others across the country. This study therefore, looks into the potential presented by the less visited parks and reserves, notably those in the Western Kenya Tourism Circuit and how they can be ‘opened up’ for the tourism activities. Apart from the savanna-based tourism known for the big five, can forests and mountains emerge as new tourism destinations in Kenya? What strategies need to be put in place to exploit their potential? The methodology applied in this research was the use of questionnaires targeting the tourists, the local communities as well as park managers. Therefore, Kenya needs to: propose new products and destinations, revisit and re-interpret the existing products, extend the product to take pressure off the existing attractions and keep close contact with tourists’ tastes when coming up with community based projects.; Le tourisme de safari dans les zones protégées du Kenya se concentre sur quelques sites touristiques : les parcs nationaux jouissant d’une forte notoriété internationale, au détriment des autres, qui sont disséminés dans le pays. A travers l’étude de la région de l’ouest du Kenya, ce travail vise à s’interroger, d’une part sur l’attractivité des aires protégées moins mise en tourisme (notamment celles de l’ouest du Kenya), et d’autre part sur leur possible ‘ouverture’ au tourisme. Après avoir connu une évolution lente due à une moindre notoriété, le tourisme forestier et celui de montagne, diffèrent de celui de la savane caractérisé par le safari des big five, peuvent-ils faire émerger de nouvelles destinations dans le pays et puis selon quelles stratégies ? A partir d’une enquête réalisée auprès des touristes, des populations locales et des responsables des aires protégées de l’ouest du pays, ainsi qu’à partir de l’étude de la documentation existante, cette thèse montre que le flux touristique à destination des parcs et des réserves nationaux du pays demeure inchangé depuis des années. Alors, est-il possible d’ouvrir au tourisme de ‘nouveaux’ milieux naturels (paysages, forêts primaires, volcans) autres que les savanes de la Rift Valley caractérisées par l’exposition de la grande faune mammalienne ? En tant qu’objectif de dynamiser le secteur touristique du pays, cette thèse fait ressortir la nécessité de faire découvrir de nouveaux produits ou destinations touristiques, de donner une nouvelle présentation et interprétation aux attractions existantes, d’étaler l’offre touristique au-delà des destinations phares et enfin, d’anticiper la demande et les préférences des touristes pendant le montage des projets communautaires.; Le tourisme de safari dans les zones protégées du Kenya se concentre sur quelques sites touristiques : les parcs nationaux jouissant d’une forte notoriété internationale, au détriment des autres, qui sont disséminés dans le pays. A travers l’étude de la région de l’ouest du Kenya, ce travail vise à s’interroger, d’une part sur l’attractivité des aires protégées moins mise en tourisme (notamment celles de l’ouest du Kenya), et d’autre part sur leur possible ‘ouverture’ au tourisme. Après avoir connu une évolution lente due à une moindre notoriété, le tourisme forestier et celui de montagne, diffèrent de celui de la savane caractérisé par le safari des big five, peuvent-ils faire émerger de nouvelles destinations dans le pays et puis selon quelles stratégies ? A partir d’une enquête réalisée auprès des touristes, des populations locales et des responsables des aires protégées de l’ouest du pays, ainsi qu’à partir de l’étude de la documentation existante, cette thèse montre que le flux touristique à destination des parcs et des réserves nationaux du pays demeure inchangé depuis des années. Alors, est-il possible d’ouvrir au tourisme de ‘nouveaux’ milieux naturels (paysages, forêts primaires, volcans) autres que les savanes de la Rift Valley caractérisées par l’exposition de la grande faune mammalienne ? En tant qu’objectif de dynamiser le secteur touristique du pays, cette thèse fait ressortir la nécessité de faire découvrir de nouveaux produits ou destinations touristiques, de donner une nouvelle présentation et interprétation aux attractions existantes, d’étaler l’offre touristique au-delà des destinations phares et enfin, d’anticiper la demande et les préférences des touristes pendant le montage des projets communautaires.; Kenya, as many other tourism destinations, is characterized by a geographical concentration of tourists in a few selected national parks and reserves to the detriment of others across the country. This study therefore, looks into the potential presented by the less visited parks and reserves, notably those in the Western Kenya Tourism Circuit and how they can be ‘opened up’ for the tourism activities. Apart from the savanna-based tourism known for the big five, can forests and mountains emerge as new tourism destinations in Kenya? What strategies need to be put in place to exploit their potential? The methodology applied in this research was the use of questionnaires targeting the tourists, the local communities as well as park managers. Therefore, Kenya needs to: propose new products and destinations, revisit and re-interpret the existing products, extend the product to take pressure off the existing attractions and keep close contact with tourists’ tastes when coming up with community based projects..Thesis: .Subject - Topical Name: Tourisme ethnoculturel -- Kenya Thèses et écrits académiques | Écotourisme -- Kenya Thèses et écrits académiques | Safaris -- Kenya Thèses et écrits académiques | Nature Thèses et écrits académiques | Parcs nationaux, Kenya Thèses et écrits académiques Subject - Geographical Name: Kenya -- Population Thèses et écrits académiques Subject: Communautés locales | Mise en tourisme | Mise en tourisme | Communautés locales | Mise en tourisme | Communautés locales Online Resources:Accès au texte intégral | Click here to access online

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Ecole(s) Doctorale(s) : École doctorale Histoire, géographie, aménagement, urbanisme, archéologie, sciences politiques, sociologie, anthropologie (Lyon)

Partenaire(s) de recherche : Environnement, Ville, Societes (IRG) (Laboratoire)

Autre(s) contribution(s) : François Bart (Président du jury) ; Anthony Simon, Bob Wishitemi, Bernard Calas (Membre(s) du jury)

Thèse de doctorat Géographie, aménagement et urbanisme Lyon 2 2010

Kenya, as many other tourism destinations, is characterized by a geographical concentration of tourists in a few selected national parks and reserves to the detriment of others across the country. This study therefore, looks into the potential presented by the less visited parks and reserves, notably those in the Western Kenya Tourism Circuit and how they can be ‘opened up’ for the tourism activities. Apart from the savanna-based tourism known for the big five, can forests and mountains emerge as new tourism destinations in Kenya? What strategies need to be put in place to exploit their potential? The methodology applied in this research was the use of questionnaires targeting the tourists, the local communities as well as park managers. Therefore, Kenya needs to: propose new products and destinations, revisit and re-interpret the existing products, extend the product to take pressure off the existing attractions and keep close contact with tourists’ tastes when coming up with community based projects.

Le tourisme de safari dans les zones protégées du Kenya se concentre sur quelques sites touristiques : les parcs nationaux jouissant d’une forte notoriété internationale, au détriment des autres, qui sont disséminés dans le pays. A travers l’étude de la région de l’ouest du Kenya, ce travail vise à s’interroger, d’une part sur l’attractivité des aires protégées moins mise en tourisme (notamment celles de l’ouest du Kenya), et d’autre part sur leur possible ‘ouverture’ au tourisme. Après avoir connu une évolution lente due à une moindre notoriété, le tourisme forestier et celui de montagne, diffèrent de celui de la savane caractérisé par le safari des big five, peuvent-ils faire émerger de nouvelles destinations dans le pays et puis selon quelles stratégies ? A partir d’une enquête réalisée auprès des touristes, des populations locales et des responsables des aires protégées de l’ouest du pays, ainsi qu’à partir de l’étude de la documentation existante, cette thèse montre que le flux touristique à destination des parcs et des réserves nationaux du pays demeure inchangé depuis des années. Alors, est-il possible d’ouvrir au tourisme de ‘nouveaux’ milieux naturels (paysages, forêts primaires, volcans) autres que les savanes de la Rift Valley caractérisées par l’exposition de la grande faune mammalienne ? En tant qu’objectif de dynamiser le secteur touristique du pays, cette thèse fait ressortir la nécessité de faire découvrir de nouveaux produits ou destinations touristiques, de donner une nouvelle présentation et interprétation aux attractions existantes, d’étaler l’offre touristique au-delà des destinations phares et enfin, d’anticiper la demande et les préférences des touristes pendant le montage des projets communautaires.

Le tourisme de safari dans les zones protégées du Kenya se concentre sur quelques sites touristiques : les parcs nationaux jouissant d’une forte notoriété internationale, au détriment des autres, qui sont disséminés dans le pays. A travers l’étude de la région de l’ouest du Kenya, ce travail vise à s’interroger, d’une part sur l’attractivité des aires protégées moins mise en tourisme (notamment celles de l’ouest du Kenya), et d’autre part sur leur possible ‘ouverture’ au tourisme. Après avoir connu une évolution lente due à une moindre notoriété, le tourisme forestier et celui de montagne, diffèrent de celui de la savane caractérisé par le safari des big five, peuvent-ils faire émerger de nouvelles destinations dans le pays et puis selon quelles stratégies ? A partir d’une enquête réalisée auprès des touristes, des populations locales et des responsables des aires protégées de l’ouest du pays, ainsi qu’à partir de l’étude de la documentation existante, cette thèse montre que le flux touristique à destination des parcs et des réserves nationaux du pays demeure inchangé depuis des années. Alors, est-il possible d’ouvrir au tourisme de ‘nouveaux’ milieux naturels (paysages, forêts primaires, volcans) autres que les savanes de la Rift Valley caractérisées par l’exposition de la grande faune mammalienne ? En tant qu’objectif de dynamiser le secteur touristique du pays, cette thèse fait ressortir la nécessité de faire découvrir de nouveaux produits ou destinations touristiques, de donner une nouvelle présentation et interprétation aux attractions existantes, d’étaler l’offre touristique au-delà des destinations phares et enfin, d’anticiper la demande et les préférences des touristes pendant le montage des projets communautaires.

Kenya, as many other tourism destinations, is characterized by a geographical concentration of tourists in a few selected national parks and reserves to the detriment of others across the country. This study therefore, looks into the potential presented by the less visited parks and reserves, notably those in the Western Kenya Tourism Circuit and how they can be ‘opened up’ for the tourism activities. Apart from the savanna-based tourism known for the big five, can forests and mountains emerge as new tourism destinations in Kenya? What strategies need to be put in place to exploit their potential? The methodology applied in this research was the use of questionnaires targeting the tourists, the local communities as well as park managers. Therefore, Kenya needs to: propose new products and destinations, revisit and re-interpret the existing products, extend the product to take pressure off the existing attractions and keep close contact with tourists’ tastes when coming up with community based projects.

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