Le sujet à l'oeuvre [Ressource électronique] : écriture et lecture chez Angela Carter / Béatrice Bijon ; sous la dir. de Josiane Paccaud-Huguet, Thèse électronique

Main Author: Bijon, BéatriceSecondary Author: Paccaud-Huguet, Josiane, ([19??]-2023)Corporate Author (Secondary): Université Lumière, LyonLanguage: français ; of summary, français ; of summary, anglais.Publication : Lyon : Université Lumière Lyon, 2001Abstract: L'oeuvre d'Angela Carter (1940-1992), en tant qu'oeuvre de l'art, permet d'explorer la question du sujet dans l'oeuvre et dans son rapport à l'oeuvre. La connexion de l'écriture avec la lecture et la psychanalyse permet de jeter une lumière sur la fiction littéraire dans le sillage des travaux de Freud et de Lacan. Au regard de l'effet fascinatoire qu'opèrent nombre de textes cartériens sur ses lecteurs et critiques, il s'agit de voir comment, au-delà de l'inscription de la violence et d'éléments fantastiques et, donc, du fantasme, un élément de symptôme fait accroc chez le lecteur. En laissant de côté la dimension d'Imaginaire de la lecture de l'inscription idéologique, nous nous interrogerons sur la dimension de jouissance qu'autorise le texte littéraire à travers le nouage du regard et de la voix. Outre la réflexion sur les fonctions du langage et la loi du Symbolique, nous explorerons la dimension de Réel que recèle le texte, une dimension irréductible et exclue du sens.; L'oeuvre d'Angela Carter (1940-1992), en tant qu'3úoeuvre de l'art, permet d'explorer la question du sujet dans l'oeuvre et dans son rapport à l'oeuvre. La connexion de l'écriture avec la lecture et la psychanalyse permet de jeter une lumière sur la fiction littéraire dans le sillage des travaux de Freud et de Lacan. Au regard de l'effet fascinatoire qu'opèrent nombre de textes cartériens sur ses lecteurs et critiques, il s'agit de voir comment, au-delà de l'inscription de la violence et d'éléments fantastiques et, donc, du fantasme, un élément de symptôme fait accroc chez le lecteur. En laissant de côté la dimension d'Imaginaire de la lecture de l'inscription idéologique, nous nous interrogerons sur la dimension de jouissance qu'autorise le texte littéraire à travers le nouage du regard et de la voix. Outre la réflexion sur les fonctions du langage et la loi du Symbolique, nous explorerons la dimension de Réel que recèle le texte, une dimension irréductible et exclue du sens..Bibliography: Bibliogr. Annexes. Index.Thesis: .Subject - Personal Name: Carter, Angela, 1940-1992 Critique et interprétation Subject - Form: Thèses et écrits académiques Online Resources:Click here to access online
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Bibliogr. Annexes. Index

Thèse de doctorat Lettres, sciences sociales et humaines Lyon 2 2001

L'oeuvre d'Angela Carter (1940-1992), en tant qu'oeuvre de l'art, permet d'explorer la question du sujet dans l'oeuvre et dans son rapport à l'oeuvre. La connexion de l'écriture avec la lecture et la psychanalyse permet de jeter une lumière sur la fiction littéraire dans le sillage des travaux de Freud et de Lacan. Au regard de l'effet fascinatoire qu'opèrent nombre de textes cartériens sur ses lecteurs et critiques, il s'agit de voir comment, au-delà de l'inscription de la violence et d'éléments fantastiques et, donc, du fantasme, un élément de symptôme fait accroc chez le lecteur. En laissant de côté la dimension d'Imaginaire de la lecture de l'inscription idéologique, nous nous interrogerons sur la dimension de jouissance qu'autorise le texte littéraire à travers le nouage du regard et de la voix. Outre la réflexion sur les fonctions du langage et la loi du Symbolique, nous explorerons la dimension de Réel que recèle le texte, une dimension irréductible et exclue du sens.

L'oeuvre d'Angela Carter (1940-1992), en tant qu'3úoeuvre de l'art, permet d'explorer la question du sujet dans l'oeuvre et dans son rapport à l'oeuvre. La connexion de l'écriture avec la lecture et la psychanalyse permet de jeter une lumière sur la fiction littéraire dans le sillage des travaux de Freud et de Lacan. Au regard de l'effet fascinatoire qu'opèrent nombre de textes cartériens sur ses lecteurs et critiques, il s'agit de voir comment, au-delà de l'inscription de la violence et d'éléments fantastiques et, donc, du fantasme, un élément de symptôme fait accroc chez le lecteur. En laissant de côté la dimension d'Imaginaire de la lecture de l'inscription idéologique, nous nous interrogerons sur la dimension de jouissance qu'autorise le texte littéraire à travers le nouage du regard et de la voix. Outre la réflexion sur les fonctions du langage et la loi du Symbolique, nous explorerons la dimension de Réel que recèle le texte, une dimension irréductible et exclue du sens.

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