Approches didactique et pédagogique de la biologie humaine au lycée en Tunisie (Record no. 463710)

000 -Label
leader 18978clm0 2200841 4500
001 - PPN
PPN 196896657
005 - Numéro d'identification de la version
Numéro d'identification de la version 20170928000905.0
029 ## - Numéro national de thèse
Pays d'obtention du diplôme France
Numéro national de thèse 2016LYSE2064
033 ## - Identifiant pérenne de la notice dans un autre système
identifiant pérenne http://www.theses.fr/2016LYSE2064
035 ## - Autres numéros de contrôle
Numéro de contrôle STAR76060
099 ## - Informations locales
date creation notice (koha) 2016-12-09
date modification notice (koha) 2016-12-09
100 ## - Données générales de traitement
données générales de traitement 20161202d2016 k y0frey50 ba
101 0# - Langue
langue du document français
langue du résumé français
-- anglais
102 ## - Pays de publication ou de production
pays de publication France
105 ## - Zone de données codées : textes, monographies
données codées - monographies y ma 00|yy
135 ## - Zone de données codées : ressources électroniques
données codées : ressources électroniques dr|||||||||||
181 ## - Zone de données codées : Forme de contenu
Données de lien entre zones z01
Autre code txt
Source du code non-ISO rdacontent
181 #1 - Zone de données codées : Forme de contenu
Données de lien entre zones z01
Code de la forme de contenu en ISBD i#
Code du qualificatif de contenu en ISBD xxxe##
182 ## - Zone de données codées : Type de médiation
Données de lien entre zones z01
Autre code c
Source du code non-ISO rdamedia
182 #1 - Zone de données codées : Type de médiation
Données de lien entre zones z01
Code du Type de médiation en ISBD b
183 #1 - Zone de données codées : Type de support matériel
Données de lien entre zones z01
Source du code [actulmnt, valeur unique prévue : "rdacarrier" ABES MARS 2016]] rdacarrier
200 1# - Titre
titre propre Approches didactique et pédagogique de la biologie humaine au lycée en Tunisie
complément du titre étude exploratoire, en contexte culturel tunisien, de l'intégration de l'autocorrection et de l'auto-évaluation en classe de terminale dans les cours sur la reproduction humaine
Auteur Fadhila Farhane
Auteur secondaire sous la direction de Jean-Claude Régnier
type de document (Ccode) Thèse électronique
210 #1 - Editeur
date de publication 2016
230 ## - Zone particulière à certains types de documents : ressources électroniques
définition et volume des fichiers Données textuelles
304 ## - Note
Texte de la note Titre provenant de l'écran-titre
314 ## - note
texte de la note Ecole(s) Doctorale(s) : École doctorale Sciences de l'éducation, psychologie, information et communication (Lyon)
314 ## - note
texte de la note Partenaire(s) de recherche : Interactions, corpus, apprentissages et représentations. Langues et littératures du monde arabe (Lyon, Rhône) (Equipe de recherche), Université Lumière (Lyon) (établissement opérateur d'inscription)
314 ## - note
texte de la note Autre(s) contribution(s) : Nadja Maria Acioly-Régnier (Président du jury) ; Gérard Vergnaud (Membre(s) du jury) ; Régis Gras (Rapporteur(s))
328 #0 - Note
Type de thèse ou de travail universitaire et nature du diplôme Thèse de doctorat
discipline Sciences de l'éducation
Organisme qui délivre le diplôme Lyon
date du diplôme 2016
330 ## - Résumé
Texte de la note This work falls within the field of Biology didactics in general and that of human reproduction more particularly. We are more specifically interested in a learners’ empowerment attempt that is more precisely related to Tunisian final year science students through self-correction/self-evaluation in the learning of human reproduction and sex education. The choice of our research topic is rooted in the methods and processes used in school learning in connection with learners’ as well as teachers’ belonging to a Muslim Arab society, where, speaking about reproduction would be to talk about sexuality which is a “dirty”, “vulgar”, “shameful” word. If just mentioned, it might be against morality, so an attack against decency. But is this design -that prevents students, young teenagers, to talk openly about sexuality and reproduction- religious? Or is it just a social construct? Is religious practice an obstacle when it comes to issues related to sexuality that there is no way to raise them in families where parents are practicing Muslims? Does Islam as a religion inciting to modesty and chastity, consider sex a taboo? Thanks to some questionnaires we tried to highlight all of these questions.From our old professional experience as a teacher of Life and Earth Sciences, we noticed in learners an obvious reluctance, expressed by a lack of participation in the construction of knowledge and even beyond that to refrain from asking questions. Nothing heard in the classroom but a deafening silence when it comes to learning human reproduction. We heard a silent but oppressed voice saying “Come on, hurry up! And provided it to end!”. This passivity was playing, possibly for a purely transmissive educational paradigm. Our main focus was to force learners, one way or another, to communicate with each other around the "problematic" theme; human reproduction. This initiative was rather designed to try to break any obstacles that might interpose, in the one hand, between students of both sexes and teachers and in the other, between learners and knowledge, than to give learners the opportunity to self-correct their own mistakes, which, perhaps, they would never make again. So many questions came to our mind: although not accustomed to self-correcting/ self-evaluative practice, are Tunisian students able to provide correct judgments of their own work? If they work in small groups in the development of a course to co-construct knowledge, will they perform better in their self-assessments related to that particular knowledge? Would self-correction and self-assessment be synonyms to effective remediation of errors?Our testing focused on 71 students from three final year science classes we have mixed and divided into three groups with the same distribution of averages SVT third class (the previous level). These three groups were:- "A.Auto" and rated "AA" trained students who participated in the construction of the course and have self-corrected and self-assessed following a preliminary test;- "B.Auto" and noted "BA" composed of students who received a lecture, but have self-corrected and self-assessed following the same preliminary test;- "Trad" and rated "T" This sample corresponds to students who received a traditional course and a correction, as usual....
330 ## - Résumé
Texte de la note Notre travail s’inscrit dans le champ de la didactique de la Biologie en général et celui de la reproduction humaine en particulier. Nous nous intéressons spécialement à une « tentative » d’autonomisation des apprenants - plus exactement des élèves - tunisiens en classe de terminale scientifique par le biais de l’autocorrection/auto-évaluation dans l’apprentissage de la reproduction humaine et l’éducation à la sexualité. Le choix de notre sujet de recherche plonge ses racines dans les méthodes et procédés utilisés dans les apprentissages scolaires en rapport avec l’appartenance des apprenants, tout comme les enseignants, à une société arabo-musulmane, où, parler de reproduction reviendrait à parler de sexualité qui est un terme « sale », « vulgaire », « honteux » et l’évoquer pourrait bien être contre la morale, donc une attaque à la pudeur. Mais, cette conception qui empêcherait les élèves, jeunes adolescents, de parler ouvertement de sexualité et de reproduction, est-elle d’ordre religieux ? Ou qu’elle n’est qu’une construction sociale ? La pratique religieuse fait-elle obstacle à l’évocation des questions se rapportant à la sexualité dans la mesure où celle-ci n’est aucunement abordée au sein des familles où les parents sont musulmans pratiquants ? L’Islam comme religion incitant à la pudeur et la chasteté, fait-il de la sexualité un tabou ? Grace à des questionnaires nous avons tenté d’apporter de l’éclairage à tous ces questionnements. De par notre ancienne expérience professionnelle d’enseignante de Sciences de la Vie et de la Terre, nous avons remarqué chez les apprenants une réticence manifeste, qui s’exprime par un manque, voire une absence de participation lors de la construction des savoirs allant jusqu’à s’abstenir de poser des questions. Rien qu’un silence assourdissant qui règne dans la salle de classe lors de l’apprentissage de la reproduction humaine. Nous entendions une voix muette mais opprimée me disant : « Allez, faites vite ! Et pourvu de ça finisse ! ». Cette passivité jouait, éventuellement en faveur d’un paradigme éducatif purement transmissif. Notre idée première était de contraindre, d’une manière ou d’une autre, les apprenants à communiquer entre eux autour de ce thème « problématique » qu’est la reproduction humaine. Cette initiative était aussi bien dans le but de tenter de briser des obstacles éventuels qui pourraient s’interposer d’une part entre les apprenants des deux sexes et l’enseignant et, d’autre part, entre les apprenants et le savoir, que de laisser aux apprenants l’occasion de corriger eux-mêmes leurs propres erreurs, peut-être ne les reprennent-ils plus. Tant de questionnements nous sont venus à l’esprit : bien que non habitués aux pratiques autocorrectives/auto-évaluatives, les élèves tunisiens sont-ils en mesure de porter des jugements corrects à leurs propres travaux ? Si, travaillant en petits groupes dans l’élaboration d’un cours en vue de co-construire un savoir, seront-ils plus performants dans leurs auto-évaluations quant à ce même savoir ? Autocorrection et auto-évaluation, seraient-elles synonymes de remédiation efficace d’erreurs ? Notre expérimentation a porté sur 71 élèves de trois classes de terminale scientifique que nous avons mixées et répartis en trois groupes présentant la même répartition des moyennes en SVT en classe de troisième (niveau précédent). Ces trois groupes étaient : - « A.Auto » et noté « AA » formés des élèves ayant participé à la construction du cours et se sont auto-corrigés et auto-évalués suite à un test préliminaire; - « B.Auto » et noté « BA » composés des élèves ayant reçu un cours magistral, mais se sont auto-corrigés et auto-évalués par suite du même test préliminaire; - « Trad » et noté « T » cet échantillon correspond aux élèves qui ont reçu un cours et une correction traditionnels, comme habituellement. ...
330 ## - Résumé
Texte de la note Notre travail s’inscrit dans le champ de la didactique de la Biologie en général et celui de la reproduction humaine en particulier. Nous nous intéressons spécialement à une « tentative » d’autonomisation des apprenants - plus exactement des élèves - tunisiens en classe de terminale scientifique par le biais de l’autocorrection/auto-évaluation dans l’apprentissage de la reproduction humaine et l’éducation à la sexualité. Le choix de notre sujet de recherche plonge ses racines dans les méthodes et procédés utilisés dans les apprentissages scolaires en rapport avec l’appartenance des apprenants, tout comme les enseignants, à une société arabo-musulmane, où, parler de reproduction reviendrait à parler de sexualité qui est un terme « sale », « vulgaire », « honteux » et l’évoquer pourrait bien être contre la morale, donc une attaque à la pudeur. Mais, cette conception qui empêcherait les élèves, jeunes adolescents, de parler ouvertement de sexualité et de reproduction, est-elle d’ordre religieux ? Ou qu’elle n’est qu’une construction sociale ? La pratique religieuse fait-elle obstacle à l’évocation des questions se rapportant à la sexualité dans la mesure où celle-ci n’est aucunement abordée au sein des familles où les parents sont musulmans pratiquants ? L’Islam comme religion incitant à la pudeur et la chasteté, fait-il de la sexualité un tabou ? Grace à des questionnaires nous avons tenté d’apporter de l’éclairage à tous ces questionnements. De par notre ancienne expérience professionnelle d’enseignante de Sciences de la Vie et de la Terre, nous avons remarqué chez les apprenants une réticence manifeste, qui s’exprime par un manque, voire une absence de participation lors de la construction des savoirs allant jusqu’à s’abstenir de poser des questions. Rien qu’un silence assourdissant qui règne dans la salle de classe lors de l’apprentissage de la reproduction humaine. Nous entendions une voix muette mais opprimée me disant : « Allez, faites vite ! Et pourvu de ça finisse ! ». Cette passivité jouait, éventuellement en faveur d’un paradigme éducatif purement transmissif. Notre idée première était de contraindre, d’une manière ou d’une autre, les apprenants à communiquer entre eux autour de ce thème « problématique » qu’est la reproduction humaine. Cette initiative était aussi bien dans le but de tenter de briser des obstacles éventuels qui pourraient s’interposer d’une part entre les apprenants des deux sexes et l’enseignant et, d’autre part, entre les apprenants et le savoir, que de laisser aux apprenants l’occasion de corriger eux-mêmes leurs propres erreurs, peut-être ne les reprennent-ils plus. Tant de questionnements nous sont venus à l’esprit : bien que non habitués aux pratiques autocorrectives/auto-évaluatives, les élèves tunisiens sont-ils en mesure de porter des jugements corrects à leurs propres travaux ? Si, travaillant en petits groupes dans l’élaboration d’un cours en vue de co-construire un savoir, seront-ils plus performants dans leurs auto-évaluations quant à ce même savoir ? Autocorrection et auto-évaluation, seraient-elles synonymes de remédiation efficace d’erreurs ? Notre expérimentation a porté sur 71 élèves de trois classes de terminale scientifique que nous avons mixées et répartis en trois groupes présentant la même répartition des moyennes en SVT en classe de troisième (niveau précédent). Ces trois groupes étaient : - « A.Auto » et noté « AA » formés des élèves ayant participé à la construction du cours et se sont auto-corrigés et auto-évalués suite à un test préliminaire; - « B.Auto » et noté « BA » composés des élèves ayant reçu un cours magistral, mais se sont auto-corrigés et auto-évalués par suite du même test préliminaire; - « Trad » et noté « T » cet échantillon correspond aux élèves qui ont reçu un cours et une correction traditionnels, comme habituellement. ...
330 ## - Résumé
Texte de la note This work falls within the field of Biology didactics in general and that of human reproduction more particularly. We are more specifically interested in a learners’ empowerment attempt that is more precisely related to Tunisian final year science students through self-correction/self-evaluation in the learning of human reproduction and sex education. The choice of our research topic is rooted in the methods and processes used in school learning in connection with learners’ as well as teachers’ belonging to a Muslim Arab society, where, speaking about reproduction would be to talk about sexuality which is a “dirty”, “vulgar”, “shameful” word. If just mentioned, it might be against morality, so an attack against decency. But is this design -that prevents students, young teenagers, to talk openly about sexuality and reproduction- religious? Or is it just a social construct? Is religious practice an obstacle when it comes to issues related to sexuality that there is no way to raise them in families where parents are practicing Muslims? Does Islam as a religion inciting to modesty and chastity, consider sex a taboo? Thanks to some questionnaires we tried to highlight all of these questions.From our old professional experience as a teacher of Life and Earth Sciences, we noticed in learners an obvious reluctance, expressed by a lack of participation in the construction of knowledge and even beyond that to refrain from asking questions. Nothing heard in the classroom but a deafening silence when it comes to learning human reproduction. We heard a silent but oppressed voice saying “Come on, hurry up! And provided it to end!”. This passivity was playing, possibly for a purely transmissive educational paradigm. Our main focus was to force learners, one way or another, to communicate with each other around the "problematic" theme; human reproduction. This initiative was rather designed to try to break any obstacles that might interpose, in the one hand, between students of both sexes and teachers and in the other, between learners and knowledge, than to give learners the opportunity to self-correct their own mistakes, which, perhaps, they would never make again. So many questions came to our mind: although not accustomed to self-correcting/ self-evaluative practice, are Tunisian students able to provide correct judgments of their own work? If they work in small groups in the development of a course to co-construct knowledge, will they perform better in their self-assessments related to that particular knowledge? Would self-correction and self-assessment be synonyms to effective remediation of errors?Our testing focused on 71 students from three final year science classes we have mixed and divided into three groups with the same distribution of averages SVT third class (the previous level). These three groups were:- "A.Auto" and rated "AA" trained students who participated in the construction of the course and have self-corrected and self-assessed following a preliminary test;- "B.Auto" and noted "BA" composed of students who received a lecture, but have self-corrected and self-assessed following the same preliminary test;- "Trad" and rated "T" This sample corresponds to students who received a traditional course and a correction, as usual....
337 ## - configuration requise
texte de la note Configuration requise : un logiciel capable de lire un fichier au format : text/html
541 ## - titre traduit ajouté par le catalogueur
titre traduit Didactical and pedagogical approaches to human biology in Tunisian high school
complément du titre exploratory study in Tunisian cultural context, of self-correction and self-assessment integration in twelfth grade in courses on human reproduction
langue du titre traduit eng
606 ## - sujets
koha internal code 166474
numéro de la notice d'autorité 027278646
sujet Éducation sexuelle
koha internal code 210124
numéro de la notice d'autorité 027790282
subdivision du sujet Étude et enseignement (secondaire)
koha internal code 214012
numéro de la notice d'autorité 02725349X
subdivision géographique Tunisie
koha internal code 193754
numéro de la notice d'autorité 027253139
subdivision du sujet Thèses et écrits académiques
code du système d'indexation rameau
606 ## - sujets
koha internal code 175106
numéro de la notice d'autorité 027665186
sujet Biologie
subdivision du sujet Étude et enseignement
koha internal code 214012
numéro de la notice d'autorité 02725349X
subdivision géographique Tunisie
koha internal code 193754
numéro de la notice d'autorité 027253139
subdivision du sujet Thèses et écrits académiques
code du système d'indexation rameau
610 0# - sujets
sujet Remédiation cognitive d’erreurs
610 0# - sujets
sujet Auto-évaluation
610 0# - sujets
sujet Autocorrection
610 0# - sujets
sujet Islam
610 0# - sujets
sujet Facteurs socioculturels
610 0# - sujets
sujet Reproduction humaine
610 0# - sujets
sujet Apprenant
610 0# - sujets
sujet Enseignement-apprentissage
610 0# - sujets
sujet Enseignement-apprentissage
610 0# - sujets
sujet Apprenant
610 0# - sujets
sujet Reproduction humaine
610 0# - sujets
sujet Facteurs socioculturels
610 0# - sujets
sujet Islam
610 0# - sujets
sujet Autocorrection
610 0# - sujets
sujet Auto-évaluation
610 0# - sujets
sujet Remédiation cognitive d’erreurs
686 ## - classification
type (indice) 370
code du système TEF
700 #1 - Auteur
koha internal code 284646
PPN autorité 195901630
auteur Farhane
partie du nom autre que l'élément d'entrée Fadhila
dates 1966-....
code de fonction Auteur
702 #1 - Nom de personne - mention de responsabilité secondaire
koha internal code 109935
PPN autorité 070335559
nom Régnier
prénom Jean-Claude
code de fonction Directeur de thèse
702 #1 - Nom de personne - mention de responsabilité secondaire
koha internal code 123266
PPN autorité 102131724
nom Acioly-Régnier
prénom Nadja Maria
dates 19..-....
code de fonction Président du jury de soutenance
702 #1 - Nom de personne - mention de responsabilité secondaire
koha internal code 14855
PPN autorité 026900939
nom Gras
prénom Régis
dates 1933-....
code de fonction Rapporteur de la thèse
702 #1 - Nom de personne - mention de responsabilité secondaire
koha internal code 27186
PPN autorité 027180972
nom Vergnaud
prénom Gérard
code de fonction
712 02 - collectivité - mention de responsabilité secondaire
champ interne Koha 282994
DORIS_KEY 190915757
élément d'entrée Université de Lyon
qualificatif 2015-....
code de fonction Organisme de soutenance
712 02 - collectivité - mention de responsabilité secondaire
champ interne Koha 220809
DORIS_KEY 148866204
élément d'entrée École doctorale Sciences de l'éducation, psychologie, information et communication
qualificatif Lyon
code de fonction Ecole doctorale associée à la thèse
712 02 - collectivité - mention de responsabilité secondaire
champ interne Koha 278351
DORIS_KEY 080002463
élément d'entrée Interactions, corpus, apprentissages et représentations
subdivision Langues et littératures du monde arabe
qualificatif Lyon, Rhône
code de fonction Equipe de recherche associée à la thèse
712 02 - collectivité - mention de responsabilité secondaire
champ interne Koha 157388
DORIS_KEY 02640334X
élément d'entrée Université Lumière
qualificatif Lyon
code de fonction Autre partenaire associé à la thèse
801 #3 - source de catalogage
agence de catalogage Abes
date de la transaction 20170707
règles de catalogage utilisées AFNOR
856 4# - accès
format électronique du fichier PDF
taille du fichier 7389005
URI http://www.theses.fr/2016LYSE2064/document
note Accès au texte intégral
856 4# - accès
URI http://theses.univ-lyon2.fr/documents/lyon2/2016/farhane_f
930 ## - localisation
-- g
Holdings
Manquant Perdu Abimé Nombre de prêts origine du document dépositaire permanent Fonds Code barre cote Etat Type de prêt Domaine Etablissement prêteur ou déposant (PEB)
Non manquant Non perdu Bon état   Documentation en ligne Documentation en ligne Ressources électroniques EL640989 Cyberthèses Lyon 2 En ligne Non prêtable Education Non disponible pour le PEB

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