000 -Label |
leader |
11051clm0 2200661 450 |
001 - PPN |
PPN |
196810981 |
005 - Numéro d'identification de la version |
Numéro d'identification de la version |
20220513222649.0 |
029 ## - Numéro national de thèse |
Pays d'obtention du diplôme |
France |
Numéro national de thèse |
2016LYSE2044 (NNT) |
033 ## - Identifiant pérenne de la notice dans un autre système |
identifiant pérenne |
http://www.theses.fr/2016LYSE2044 |
035 ## - Autres numéros de contrôle |
Numéro de contrôle |
(OCoLC)1316699648 |
035 ## - Autres numéros de contrôle |
Numéro de contrôle |
STAR79500 |
099 ## - Informations locales |
date creation notice (koha) |
2016-12-09 |
date modification notice (koha) |
2016-12-09 |
100 ## - Données générales de traitement |
données générales de traitement |
20161129d2016 k y0frey50 ba |
101 0# - Langue |
langue du document |
français |
langue du résumé |
français |
-- |
anglais |
102 ## - Pays de publication ou de production |
pays de publication |
France |
105 ## - Zone de données codées : textes, monographies |
données codées - monographies |
y ma 00|yy |
135 ## - Zone de données codées : ressources électroniques |
données codées : ressources électroniques |
dr||||||||||| |
181 ## - Zone de données codées : Forme de contenu |
Données de lien entre zones |
z01 |
Autre code |
txt |
Source du code non-ISO |
rdacontent |
181 #1 - Zone de données codées : Forme de contenu |
Données de lien entre zones |
z01 |
Code de la forme de contenu en ISBD |
i# |
Code du qualificatif de contenu en ISBD |
xxxe## |
182 ## - Zone de données codées : Type de médiation |
Données de lien entre zones |
z01 |
Autre code |
c |
Source du code non-ISO |
rdamedia |
182 #1 - Zone de données codées : Type de médiation |
Données de lien entre zones |
z01 |
Code du Type de médiation en ISBD |
b |
183 ## - Zone de données codées : Type de support matériel |
Données de lien entre zones |
z01 |
Source du code [actulmnt, valeur unique prévue : "rdacarrier" ABES MARS 2016]] |
RDAfrCarrier |
200 1# - Titre |
titre propre |
Alain jouffroy, mouvements surréalistes et ostinato lyrique |
complément du titre |
un demi-siècle de poésie vécue (1958-2007) |
Auteur |
Dominique Drouet |
Auteur secondaire |
sous la direction de Jean-Yves Debreuille |
type de document (Ccode) |
Thèse électronique |
210 #1 - Editeur |
date de publication |
2016 |
230 ## - Zone particulière à certains types de documents : ressources électroniques |
définition et volume des fichiers |
Données textuelles |
304 ## - Note |
Texte de la note |
Titre provenant de l'écran-titre |
314 ## - note |
texte de la note |
Ecole(s) Doctorale(s) : École doctorale Lettres, langues, linguistique, arts (Lyon) |
314 ## - note |
texte de la note |
Partenaire(s) de recherche : Passages XX-XXI (Lyon) (Equipe de recherche), Université Lumière (Lyon) (établissement opérateur d'inscription) |
314 ## - note |
texte de la note |
Autre(s) contribution(s) : Dominique Carlat (Président du jury) ; Philippe Forest, Arnaud Buchs (Membre(s) du jury) |
328 #0 - Note |
Type de thèse ou de travail universitaire et nature du diplôme |
Thèse de doctorat |
discipline |
Littératures française et francophone |
Organisme qui délivre le diplôme |
Lyon |
date du diplôme |
2016 |
330 ## - Résumé |
Texte de la note |
Alain Jouffroy (1928-2015) started writing poetry in 1948 when encouraged by his encounter with André Breton and his short-termed adherence to the surrealist movement. As he soon found himself excluded from the latter, he experienced and developed mistrust in cliquishness whatsoever and absolute trust in language and its ability to express the innumerable ways a free man can be in the world. It did not take him long to diversify his writing practice, and so he published collections of poems, essays and many critical articles on avant-gardist artists. Like a Jack-of-all-trades, Jouffroy wrote his way through the aesthetic and political movements of the Parisian intellectual sphere, from the fifties to the nineties. As the founder member of the Opus international journal and the director of the XXe siècle one, he was well positioned to insatiably observe the stir of the French society, that is, the restructuration following the Liberation, the disappointed revolutionary hopes of May 68 and the galloping commodification of artistic creation. Bearing witness to the unstoppable rise of the spectacle society, he supported artists who had difficulties in finding their own places – at least at the beginning of their careers: Poster Artists, Objectors, New Realists… – as well as overshadowed poets such as Stanislas Rodanski and Jean-Pierre Duprey. He was interested in all those who, like himself, had appropriated the margins. At the same time, he would converse with major figures like Aragon, Michaux and Sollers. His curiosity for the elsewhere and his numerous travels made his viewpoint more accurate. He promoted the Surrealist painters from both South America and Eastern Europe, and the Beat poets as well as those from the Middle East. At the same time, depending on either his breaking or being reconciled with André Breton, he claimed to be the heir of the latter or the champion of a Surrealism that was still alive and kicking thanks to its been thought of as an ethics of receptivity. When he was the cultural counsellor for the French Embassy in Tokyo, from 1982 to 1985, he perfected his knowledge of Zen Buddhism and experienced a painful linguistic estrangement. Back to France in a grim climate when the media claimed the death of poetry, he made small-sized sculptures from objects he had come across with, which he termed ‘assemblages,’ ‘collages’ or ‘posages’ – a way to possibly answer the silence that surrounded his own artistic creation, badly circulated until the publication of the anthologies entitled C’est aujourd’hui toujours and C’est partout ici, and his collection of poems Vies in the late nineties. His poetic work, far from being a place of withdrawal from his cultural, social and sentimental life, particularly rich and eventful, condenses his trajectory: the twenty or so collections published between 1958 and 2007 offer an echo chamber to his crossing of the half-century, while presenting the variegated positions and poetics born from circumstances and renewed confrontations between two complex entities, that of Alain Jouffroy the man and that of the world around him. This is why his poetic writing reflects all the different currents and trends emerging from the still-unresolved question of the relation between the writing consciousness and the written text. All his work presents us with polymorphous poetry, that is, at the same time including the original pervasiveness of pictures inherited from Surrealism, the return to love lyricism under the influence of biographical material, the angry voices inspired from the tormented Beat souls, the detour via the screen picture in the New Wave period, the temporary vanishing of the subject required to disappear in the Structuralist era and the return of this same subject continuously remaining the object of poems. In spite of formal variations and thundering contradictions, the “I” does remain the motive of writing. . ... |
330 ## - Résumé |
Texte de la note |
Alain Jouffroy (1928-2015) vient à l’écriture poétique en 1948, encouragé par sa rencontre avec André Breton et sa brève appartenance au mouvement surréaliste. Rapidement exclu, il conserve de cette expérience une méfiance à l’égard de tout esprit de chapelle et une confiance inébranlable en la langue et en sa capacité à exprimer les innombrables modalités d’être-au-monde de l’individu libre. Il diversifie rapidement ses pratiques d’écriture et publie recueils de poèmes, romans, essais et de nombreux articles sur les artistes avant-gardistes. Touche-à-touche, Jouffroy traverse les périodes esthétique et politique du milieu intellectuel parisien des années cinquante aux années quatre-vingt-dix. Fondateur de la revue Opus international, directeur de la revue XXe siècle, il est un observateur insatiable des remous de la société française : restructuration à la Libération, espoirs révolutionnaires déçus de Mai 68, marchandisation galopante de la création. Témoin de l’irrésistible ascension de la société du spectacle, il défend des artistes qui peinent à trouver leur place – du moins au début de leur carrière : les Affichistes, les Objecteurs, les Nouveaux réalistes... – et les poètes restés dans l’ombre – Stanislas Rodanski, Jean-Pierre Duprey. Il s’intéresse à tous ceux qui, comme lui, ont fait de la marge leur territoire. Dans le même temps, il échange avec les grandes figures d’Aragon, Michaux et Sollers. Son regard s’aiguise de sa curiosité pour l’ailleurs et de ses nombreux voyages. Il promeut les peintres surréalistes d’Amérique du Sud et d’Europe de l’Est, les poètes de la Beat generation, ceux du Moyen-Orient. Parallèlement, au gré de ses ruptures et réconciliations avec André Breton, il se veut l’héritier de ce dernier et le promoteur d’un surréalisme toujours vivace parce que conçu comme une éthique de la réceptivité. Conseiller culturel de l’ambassade de France à Tokyo entre 1982 et 1985, il parfait sa connaissance du bouddhisme zen et fait l’expérience d’un douloureux déracinement langagier. De retour en France, dans une période de morosité ambiante où les médias clament la mort de la poésie, il réalise de petites sculptures d’objets trouvés qu’il nomme assemblages, collages ou posages – réponse possible au silence qui entoure son œuvre, mal diffusée jusqu’à la parution des anthologies C’est aujourd’hui toujours, C’est partout ici et du recueil Vies, chez Gallimard, à la fin de années quatre-vingt-dix.Son œuvre poétique, loin d’être un lieu de retrait par rapport à une vie culturelle, amicale et sentimentale particulièrement riche et mouvementée, condense son parcours : la vingtaine de recueils publiés entre 1958 et 2007 offre une chambre d’écho à cette traversée du demi-siècle, tout en déclinant les différentes postures et poétiques nées au grés des circonstances et des confrontations renouvelées entre deux complexités, celle de l’individu Alain Jouffroy, et celle du monde. Aussi son écriture poétique chatoie-t-elle des différents courants qui naissent de la question toujours en suspens du rapport entre la conscience écrivante et le texte écrit. L’ensemble de l’œuvre donne à lire une poésie polymorphe : prégnance première de l’image héritée du surréalisme, retour au lyrisme amoureux sous l’influence du matériau biographique, vocifération à la manière des écorchés Beat, détour par l’image cinématographique durant la Nouvelle Vague, évaporation temporaire du sujet sommé de disparaître sous l’ère structuraliste, retour de ce même sujet qui reste, constamment, l’objet du poème. Malgré les variations formelles, les contradictions tonitruantes, le « je » demeure le mobile de l’écriture. ... |
330 ## - Résumé |
Texte de la note |
Alain Jouffroy (1928-2015) vient à l’écriture poétique en 1948, encouragé par sa rencontre avec André Breton et sa brève appartenance au mouvement surréaliste. Rapidement exclu, il conserve de cette expérience une méfiance à l’égard de tout esprit de chapelle et une confiance inébranlable en la langue et en sa capacité à exprimer les innombrables modalités d’être-au-monde de l’individu libre. Il diversifie rapidement ses pratiques d’écriture et publie recueils de poèmes, romans, essais et de nombreux articles sur les artistes avant-gardistes. Touche-à-touche, Jouffroy traverse les périodes esthétique et politique du milieu intellectuel parisien des années cinquante aux années quatre-vingt-dix. Fondateur de la revue Opus international, directeur de la revue XXe siècle, il est un observateur insatiable des remous de la société française : restructuration à la Libération, espoirs révolutionnaires déçus de Mai 68, marchandisation galopante de la création. Témoin de l’irrésistible ascension de la société du spectacle, il défend des artistes qui peinent à trouver leur place – du moins au début de leur carrière : les Affichistes, les Objecteurs, les Nouveaux réalistes... – et les poètes restés dans l’ombre – Stanislas Rodanski, Jean-Pierre Duprey. Il s’intéresse à tous ceux qui, comme lui, ont fait de la marge leur territoire. Dans le même temps, il échange avec les grandes figures d’Aragon, Michaux et Sollers. Son regard s’aiguise de sa curiosité pour l’ailleurs et de ses nombreux voyages. Il promeut les peintres surréalistes d’Amérique du Sud et d’Europe de l’Est, les poètes de la Beat generation, ceux du Moyen-Orient. Parallèlement, au gré de ses ruptures et réconciliations avec André Breton, il se veut l’héritier de ce dernier et le promoteur d’un surréalisme toujours vivace parce que conçu comme une éthique de la réceptivité. Conseiller culturel de l’ambassade de France à Tokyo entre 1982 et 1985, il parfait sa connaissance du bouddhisme zen et fait l’expérience d’un douloureux déracinement langagier. De retour en France, dans une période de morosité ambiante où les médias clament la mort de la poésie, il réalise de petites sculptures d’objets trouvés qu’il nomme assemblages, collages ou posages – réponse possible au silence qui entoure son œuvre, mal diffusée jusqu’à la parution des anthologies C’est aujourd’hui toujours, C’est partout ici et du recueil Vies, chez Gallimard, à la fin de années quatre-vingt-dix.Son œuvre poétique, loin d’être un lieu de retrait par rapport à une vie culturelle, amicale et sentimentale particulièrement riche et mouvementée, condense son parcours : la vingtaine de recueils publiés entre 1958 et 2007 offre une chambre d’écho à cette traversée du demi-siècle, tout en déclinant les différentes postures et poétiques nées au grés des circonstances et des confrontations renouvelées entre deux complexités, celle de l’individu Alain Jouffroy, et celle du monde. Aussi son écriture poétique chatoie-t-elle des différents courants qui naissent de la question toujours en suspens du rapport entre la conscience écrivante et le texte écrit. L’ensemble de l’œuvre donne à lire une poésie polymorphe : prégnance première de l’image héritée du surréalisme, retour au lyrisme amoureux sous l’influence du matériau biographique, vocifération à la manière des écorchés Beat, détour par l’image cinématographique durant la Nouvelle Vague, évaporation temporaire du sujet sommé de disparaître sous l’ère structuraliste, retour de ce même sujet qui reste, constamment, l’objet du poème. Malgré les variations formelles, les contradictions tonitruantes, le « je » demeure le mobile de l’écriture. ... |
330 ## - Résumé |
Texte de la note |
Alain Jouffroy (1928-2015) started writing poetry in 1948 when encouraged by his encounter with André Breton and his short-termed adherence to the surrealist movement. As he soon found himself excluded from the latter, he experienced and developed mistrust in cliquishness whatsoever and absolute trust in language and its ability to express the innumerable ways a free man can be in the world. It did not take him long to diversify his writing practice, and so he published collections of poems, essays and many critical articles on avant-gardist artists. Like a Jack-of-all-trades, Jouffroy wrote his way through the aesthetic and political movements of the Parisian intellectual sphere, from the fifties to the nineties. As the founder member of the Opus international journal and the director of the XXe siècle one, he was well positioned to insatiably observe the stir of the French society, that is, the restructuration following the Liberation, the disappointed revolutionary hopes of May 68 and the galloping commodification of artistic creation. Bearing witness to the unstoppable rise of the spectacle society, he supported artists who had difficulties in finding their own places – at least at the beginning of their careers: Poster Artists, Objectors, New Realists… – as well as overshadowed poets such as Stanislas Rodanski and Jean-Pierre Duprey. He was interested in all those who, like himself, had appropriated the margins. At the same time, he would converse with major figures like Aragon, Michaux and Sollers. His curiosity for the elsewhere and his numerous travels made his viewpoint more accurate. He promoted the Surrealist painters from both South America and Eastern Europe, and the Beat poets as well as those from the Middle East. At the same time, depending on either his breaking or being reconciled with André Breton, he claimed to be the heir of the latter or the champion of a Surrealism that was still alive and kicking thanks to its been thought of as an ethics of receptivity. When he was the cultural counsellor for the French Embassy in Tokyo, from 1982 to 1985, he perfected his knowledge of Zen Buddhism and experienced a painful linguistic estrangement. Back to France in a grim climate when the media claimed the death of poetry, he made small-sized sculptures from objects he had come across with, which he termed ‘assemblages,’ ‘collages’ or ‘posages’ – a way to possibly answer the silence that surrounded his own artistic creation, badly circulated until the publication of the anthologies entitled C’est aujourd’hui toujours and C’est partout ici, and his collection of poems Vies in the late nineties. His poetic work, far from being a place of withdrawal from his cultural, social and sentimental life, particularly rich and eventful, condenses his trajectory: the twenty or so collections published between 1958 and 2007 offer an echo chamber to his crossing of the half-century, while presenting the variegated positions and poetics born from circumstances and renewed confrontations between two complex entities, that of Alain Jouffroy the man and that of the world around him. This is why his poetic writing reflects all the different currents and trends emerging from the still-unresolved question of the relation between the writing consciousness and the written text. All his work presents us with polymorphous poetry, that is, at the same time including the original pervasiveness of pictures inherited from Surrealism, the return to love lyricism under the influence of biographical material, the angry voices inspired from the tormented Beat souls, the detour via the screen picture in the New Wave period, the temporary vanishing of the subject required to disappear in the Structuralist era and the return of this same subject continuously remaining the object of poems. In spite of formal variations and thundering contradictions, the “I” does remain the motive of writing. . ... |
337 ## - configuration requise |
texte de la note |
Configuration requise : un logiciel capable de lire un fichier au format : text/html |
452 ## - autre édition |
PPN de la notice de collection (lien créé) |
23568869X |
titre |
Alain Jouffroy, un demi-siècle de poésie vécue |
Sous-titre ou complément du titre |
mouvements surréalistes et ostinato lyrique |
première mention de responsabilité |
Dominique Drouet-Biot |
lieu de publication |
Paris |
Nom de l'éditeur, du distributeur, etc. |
Classiques Garnier |
date de publication |
2019 |
collation |
1 vol. (580 p.) |
mention de collection |
Études de littérature des XXe et XXIe siècles |
ISBN/ISMN |
978-2-406-07248-5 |
541 ## - titre traduit ajouté par le catalogueur |
titre traduit |
Alain Jouffroy, Surrealist Movements and Lyrical Ostinato |
complément du titre |
Half a Century of Real-life Poetry (1958-2007) |
langue du titre traduit |
eng |
600 #1 - sujets |
Koha internal code |
17840 |
numéro de la notice d'autorité |
026941120 |
sujet |
Jouffroy |
partie du nom autre que l'élément d'entrée |
Alain |
dates |
1928-2015 |
code du système d'indexation |
rameau |
606 ## - sujets |
koha internal code |
171010 |
numéro de la notice d'autorité |
027462374 |
sujet |
Poésie lyrique |
code du système d'indexation |
rameau |
606 ## - sujets |
koha internal code |
166257 |
numéro de la notice d'autorité |
027249689 |
sujet |
Surréalisme (littérature) |
code du système d'indexation |
rameau |
608 ## - sujets |
Numéro interne Koha |
193754 |
numéro de la notice d'autorité |
027253139 |
sujet |
Thèses et écrits académiques |
code du système d'indexation |
rameau |
610 0# - sujets |
sujet |
Individualisme révolutionnaire |
610 0# - sujets |
sujet |
Avant-gardes |
610 0# - sujets |
sujet |
Lyrisme |
610 0# - sujets |
sujet |
Surréalisme |
610 0# - sujets |
sujet |
Poésie |
610 0# - sujets |
sujet |
Poésie |
610 0# - sujets |
sujet |
Surréalisme |
610 0# - sujets |
sujet |
Lyrisme |
610 0# - sujets |
sujet |
Avant-gardes |
610 0# - sujets |
sujet |
Individualisme révolutionnaire |
686 ## - classification |
type (indice) |
840 |
code du système |
TEF |
700 #1 - Auteur |
koha internal code |
284534 |
PPN autorité |
196404053 |
auteur |
Drouet |
partie du nom autre que l'élément d'entrée |
Dominique |
dates |
1977-.... |
code de fonction |
Auteur |
701 #1 - coauteur |
koha internal code |
11514 |
PPN autorité |
026815958 |
nom |
Debreuille |
prénom |
Jean-Yves |
dates |
19..-.... |
code de fonction |
Directeur de thèse |
701 #1 - coauteur |
koha internal code |
95228 |
PPN autorité |
057571872 |
nom |
Carlat |
prénom |
Dominique |
dates |
1964-.... |
code de fonction |
Président du jury de soutenance |
701 #1 - coauteur |
koha internal code |
48244 |
PPN autorité |
030092760 |
nom |
Forest |
prénom |
Philippe |
dates |
1962-.... |
code de fonction |
|
701 #1 - coauteur |
koha internal code |
119317 |
PPN autorité |
08622185X |
nom |
Buchs |
prénom |
Arnaud |
dates |
19..-.... |
code de fonction |
|
711 02 - collectivité - coauteur |
champ interne Koha |
282994 |
PPN autorité |
190915757 |
élément d'entrée |
Université de Lyon |
qualificatif |
2015-.... |
code de fonction |
Organisme de soutenance |
711 02 - collectivité - coauteur |
champ interne Koha |
220808 |
PPN autorité |
148865267 |
élément d'entrée |
École doctorale Lettres, langues, linguistique, arts |
qualificatif |
Lyon |
code de fonction |
Ecole doctorale associée à la thèse |
711 02 - collectivité - coauteur |
champ interne Koha |
257121 |
PPN autorité |
17569821X |
élément d'entrée |
Passages XX-XXI |
qualificatif |
Lyon |
code de fonction |
Equipe de recherche associée à la thèse |
711 02 - collectivité - coauteur |
champ interne Koha |
157388 |
PPN autorité |
02640334X |
élément d'entrée |
Université Lumière |
qualificatif |
Lyon |
code de fonction |
Autre partenaire associé à la thèse |
801 #3 - source de catalogage |
agence de catalogage |
Abes |
date de la transaction |
20220512 |
règles de catalogage utilisées |
AFNOR |
856 4# - accès |
-- |
690292101:727404199 |
format électronique du fichier |
PDF |
taille du fichier |
9130058 |
URI |
http://theses.univ-lyon2.fr/documents/lyon2/2016/drouet_d |
note |
Accès réservé au texte intégral |
930 ## - localisation |
-- |
g |